Logo Memorizer
Memory Image

L'éducation sentimentale

logo memorizer

7.2/10

2005

Gustave Flaubert

logo memorizer

Share memory

Community Reviews

Public Opinion

user icon

111 reviews

memorizer logo

7.2/10

logo memorizer

Discover if your friends have added it

More infos

Summary

- Adieu, mon ami, mon cher ami! Je ne vous reverrai jamais! C'était ma dernière démarche de femme... Et elle le baisa au front comme une mère... Elle défit son peigne; tous ses cheveux blancs tombèrent. Elle s'en coupa, brutalement, à la racine, une longue mèche. - Gardez-les! adieu! Quand elle fut sortie, Frédéric ouvrit sa fenêtre. Mme Arnoux, sur le trottoir, fit signe d'avancer à un fiacre qui passait. Elle monta dedans. La voiture disparut. Et ce fut tout.

Reviews and Comments

26 reviews
CD
Caroline Delloyerated ★ 7/10
May 26, 2025

Rêves de grandeur et désillusions d'un jeune provincial, on connaît la chanson... Peinture savoureuse d'une époque

S
Soleilrated ★ 7/10
August 23, 2024

Publié en 1869. Le 15 septembre 1840, Frédéric Moreau rentre chez lui à Nogent-Sur-Seine. Il prend le bateau qui mène à Montereau, sur lequel il fait la connaissance du couple Arnoux. Il est fasciné par Mme Arnoux et se promet de la revoir. Après avoir fini le trajet en calèche, il arrive chez lui où l’attend un accueil chaleureux et décide d’aller rejoindre son ami Deslauriers. Alors que les 2 amis se retrouvent après 2 ans de séparation, on apprend leur jeunesse, le début de leur amitié. Deslauriers conseillé à Frédéric de se faire introduire chez Dambreuse, riche banquier parisien dont le régisseur des terres n’est autre que le père Roque, voisin des Moreau à Nogent-Sur-Seine. 2 mois plus tard, Frédéric arrive à Paris et se présente chez Dambreuse. Malgré la lettre de recommandation que lui a faite le père Roque, il n’est pas invité à revenir. Par hasard, il découvre le magasin d’Arnoux et repense à Mme Arnoux. Mais il ne parvient jamais à l’approcher. Il s’installe rue Sainte-Hyacinthe, commente ses études de droit mais se décourage et tombe dans l’ennui. Deslauriers ne peut pas monter le rejoindre à Paris, et malgré la fréquentation de 2 autres étudiants, Martinon et M. de Cisy, Frédéric est dans le désœuvrement. Le printemps approche et il passe médiocrement sa première année. Après être retourné chez sa mère pour l’été, il s’installe quai Napoléon à la rentrée. Décembre 1841, Frédéric assiste à une manifestation étudiante dans le quartier latin et fait la connaissance de Hussonnet. Il rencontre également Dussardier, qui est incarcéré pour s’être insurgé contre les forces de l’ordre. Après lui avoir rendu visite en prison, il discute avec Hussonnet et apprend qu’il travaille pour L’Art industriel, le journal d’Arnoux. Il demande à y être introduit. Sur place, il fait la connaissance de Regimbart, un socialiste plus ou moins dominé par l’alcool, et de Pellerin, un peintre exploité par Arnoux. Ce cadre devient le sien. Un soir, il reçoit une lettre de son ami Deslauriers qui le prévient de son arrivée à Paris. Mais il arrive le jour où, pour la première fois, Frédéric est invité à dîner chez les Arnoux. Il reçoit donc chaleureusement son ami et se rend au dîner, pendant lequel la vue de Mme Arnoux le trouble encore plus que la première fois. En rentrant chez lui, Deslauriers n’est déjà plus qu’un « autre ». Frédéric, obsédé par l’idée de conquérir Mme Arnoux, prend des cours de peinture chez Pellerin qui devient un des membres des réunions du samedi chez Frédéric avec Deslauriers, Sénécal, Martinon, de Cisy, Dussardier et Regimbart. Mais Deslauriers est excédé par cette obsession et leur amitié s’en ressent. Le mois des examens arrive et Frédéric est recalé. De plus, il apprend que Mme Arnoux est partie chez sa mère malade. Désespéré, il se rapproche d’Arnoux sans savoir pourquoi. Au retour de Mme Arnoux, les dîners auxquels il est invité tous les jeudis reprennent de façon monotone. Deslauriers décide de changer les idées de son ami en l’emmenant alors au cabaret. Mais rien n’y fait. Ils y rencontrent Arnoux en compagnie de Mlle Vatnaz, écrivaine manquée, sans doute sa maîtresse. Seule 2 invitations viennent égayer son temps quelques jours plus tard : une pour la fête de Mme Arnoux, l’autre des Dambreuse, cette dernière étant bien vite décommandée. La fête se déroule dans la maison de campagne d’Arnoux située à Ssint-Cloud, mais un incident se produit et Mme Arnoux lors du retour semble très triste et parle à mots couverts à Frédéric qui voit là une espèce de complicité. Il se remet alors à travailler et est reçu à ses examens. Pressé par sa mère de rentrer à Nogent-sur-Seine, il y apprend que leur fortune est dilapidée et qu’il ferait mieux de rester en province. Frédéric demeure auprès de sa mère et se fait engager chez un avoué. Il fait la connaissance de Mlle Louise Roque, jeune adolescente, qui est la fille du père Roque, son voisin. Il s’habitue difficilement à la vie provinciale, surtout lorsqu’il apprend que Deslauriers a recueilli Sénécal. Après la visite de son oncle, il apprend de sa mère qu’il n’héritera pas de sa fortune qui s’élève à 27 000 livres de rente. Avec Mme Arnoux à l’esprit, il repart pour Paris sur-le-champ, disant à peine adieu à la toute jeune Louise, visiblement très émue de son départ. Frédéric arrive le lendemain matin à Paris. Il court à la maison d’Arnoux, mais celui-ci n’y est plus. Dérouté par cette disparition, il cherche à retrouver Pellerin, Hussonnet, en vain. Après avoir fait la tournée des cafés de Paris, il retrouve enfin Regimbart qui lui révèle qu’Arnoux a déménagé et s’est reconverti dans la faïence. Lorsqu’il arrive chez Arnoux, il est surpris par le peu d’effets que lui cause la vue de Mme Arnoux après 3 années d’absence. Elle a à présent un petit garçon. Quant à Deslauriers, il a été recalé à sa thèse de droit et a décidé de ne pas la repasser. Il se consacre à une thèse plutôt socialiste et semble sous l’influence de Sénécal. C’est alors qu’Arnoux l’emmène à un bal costumé chez une de ses maîtresses, Rosanette. Frédéric retrouve Hussonnet et Pellerin et est mal à l’aise dans cette réception mal organisée. Après s’être logé à grands frais, Frédéric rend successivement visite à Mme Dambreuse, à Rosanette et à Mme Arnoux. Puis il organise sa pendaison de crémaillère avec ses amis. Il apprend qu’Arnoux a des ennuis financiers et décide d’en parler à sa femme qui le charge de veiller sur son mari. Celui-ci n’hésite pas à la tromper avec Rosanette qui se fait entretenir sans limite. Cette femme plaît à Frédéric qui prend de moins en moins de précautions pour le lui faire comprendre. Mas elle se soustrait toujours à ses avances. Aussi décide-t-il de lui faire faire un portrait par Pellerin afin de la voir plus souvent. Mais Deslauriers voit cela d’un mauvais œil et exhorte Frédéric à lui prêter l’argent nécessaire à la fondation d’un journal. De plus, il l’engage, de même que Mme Arnoux, à aller voir Dambreuse pour trouver une place au Conseil d’Etat. Ce dernier le verrait plutôt dans les affaires. A sa sortie de son dîner chez les Dambreuse, Frédéric apprend que Rosanette est libre et il décide de devenir son amant, mais à peine est-il devant chez elle que Mlle Vatnaz lui révèle que Delmar, acteur, l’a devancé et elle veut que Frédéric mette Arnoux au courant de sa perfidie. Mais lorsqu’il arrive chez Arnoux, Mme Arnoux est furieuse envers son mari car elle a appris qu’il la trompait. Arnoux part avec Frédéric. Frédéric devient « le parasite de la maison » d’Arnoux. Ce dernier connaît d’ailleurs des revers de fortune. Quant à Deslauriers, il ne cesse de lui réclamer l’argent pour le journal. Mais à peine Frédéric les a-t-il reçus qu’Arnoux le supplie de lui prêter cette somme pour ne pas être exproprié. Confiant en la parole du bourgeois qui lui promet le remboursement sous huitaine, Frédéric accepte de lui céder les 15 000 francs qu’il vient de recevoir du notaire. Mais le temps passe et Arnoux ne rembourse pas. Lorsque Deslauriers vient réclamer cet argent, Frédéric dit les avoir perdus au jeu, leur amitié se brise. Arnoux pourtant semble toujours endetté jusqu’au cou, puisqu’il demande au jeune homme d’intercéder en sa faveur auprès de Dambreuse, son créancier. Frédéric discute avec le banquier qui lui propose alors un poste important dans la nouvelle compagnie de houilles qu’il est en train de fonder. Enthousiaste, il accepte, mais au lieu de se rendre au rendez-vous prévu 3 semaines plus tard, il préfère aller voir Mme Arnoux à la fabrique de faïence, à Creil. Il tente de lui avouer son amour, mais celle-ci fait tout pour détourner la conversation, entre visites de la fabrique et feinte d’incompréhension. A son retour, il reçoit une lettre de Rosanette qui désire le voir. Déçu par l’entrevue de la journée, il se promet d’y aller. Frédéric invite Rosanette aux courses où ils font la rencontre de Cisy qui semble également s’intéresser à la demi-mondaine. Et en effet, après un dîner au compte de Frédéric et auquel s’est invité l’aristocrate, ce dernier s’en va avec Rosanette, laissant seul Frédéric seul avec Hussonnet. Peu de temps après, Pellerin lui réclame une somme exorbitante pour le portrait de Rosanette, ce qu’il refuse, de même qu’il refuse d’avancer l’argent à Hussonnet pour relancer son journal. Puis, invité par Cisy en guise de réconciliation, il sème le trouble dans le dîner et finit par attaquer physiquement Cisy lorsque celui-ci fait une réflexion désobligeante sur Mme Arnoux : le duel est inévitable. Après avoir pris Regimbart et Dussardier comme témoins, il se retrouve face à l’aristocrate dans le bois de Boulogne où ce dernier s’évanouit de peur. C’est à ce moment qu’Arnoux vient interrompre le duel, persuadé que Frédéric s’était battu pour sauver son honneur. Peu de temps après, il voit dans Le Flambard, le journal d’Hussonnet, un article le dénigrant, puis, dans la vitrine d’un marchand de tableaux, le portrait de Rosanette, les seins découverts, exhibé à son nom. Pellerin et Hussonnet se vengeaient. Dépité, Frédéric décide de se rendre chez les Dambreuse où il est froidement accueilli. Après s’être mis à dos les invités par un plaidoyer contre l’ordre établi, il quitte les lieux. Rentrant chez lui, il rencontre Dussardier qui l’invite à reprendre contact avec Deslauriers, qui se réjouit à cette idée. Il lui apprend que sa mère aimerait le revoir et que Louise serait un bon parti. De retour à Nogent-sur-Seine, Frédéric passe pour le futur mari de Louise. A Paris, Deslauriers décide d’aller voir Mme Arnoux. Il lui apprend que Frédéric va se marier avec Louise. Celle-ci en est visiblement affectée. Quant à Frédéric, il retrouve Louise plus amoureuse que jamais, qui, brusquement, l’interroge : « veux-tu être mon mari ? ». Pris de court, il cherche une réponse : « Sans doute, je ne demande pas mieux ». Mais après que le père Roque lui a fait visiter son domaine, il invoque des histoires à régler pour s’en retourner à Paris. De retour à Paris, il se rend chez la maréchale qui le reçoit fort bien. Le lendemain, il se rend chez Deslauriers qui l’emmène chez Dussardier pour fêter la sortie de prison de Sénécal. Les retrouvailles se passent bien, mais alors qu’il s’était juré de ne pas retourner chez Arnoux, il est obligé de se rendre au magasin où il revoit Mme Arnoux. Alors, leur amour se découvre et dès le lendemain, ils se retrouvent dans la nouvelle petite maison de campagne des Arnoux située à Auteuil. Mais, voulant une liaison plus complète, il loue une garçonnière et fixe à Mme Arnoux une entrevue qu’il désire plus intime. Elle accepte mais ne se rend pas au rdv : son fils est malade et semble proche de la mort. Lorsqu’il est sauvé, Mme Arnoux y voit un signe de la Providence. Pendant ce temps, alors que les événements révolutionnaires des 22 à 25 février 1848 ont commencé, désespéré de son rdv manqué et par vengeance il amène Rosanette dans sa garçonnière et il en fait sa maîtresse. La Révolution a commencé. Frédéric se rend aux Tuileries où il rencontre parmi les émeutiers Hussonnet et Dussardier. A la fin de la journée, alors qu’est nommé le gouvernement provisoire, Frédéric rédige un article qui lui vaudra la reconnaissance de ses amis et le respect de Dambreuse qui lui propose de se présenter aux élections législatives pour la circonscription de Nogent. Il l’engage à rédiger un discours électoral, ce que d’empresse de faire Frederic.

FL
Francois Laurentrated ★ 6/10
March 18, 2024

Bien quant aux relations affectives entre un jeune homme et une femme qu’il admire et veut séduire mais trop de palabres sur la situation politique mouvementée de l’époque .

Abdelkader Fodilrated ★ 5/10
January 19, 2023

Pas terminé je pense l’avoir commencé au mauvais moment de ma vie

MM
Manon Menivalerated ★ 6/10
May 17, 2025

GN
Gaële NICOLASrated ★ 7/10
May 1, 2025

List

Memorizer Logo
Mobile App Preview

Try the mobile version

Enjoy a complete and optimized experience with the mobile version of Memorizer. Record, note, and share memories in just a few clicks.