Summary
L'oeuvre intégrale annotée :Sido et Les Vrilles de la vigne sont deux oeuvres distinctes, écrites à des périodes différentes de la vie de Colette. Dans Sido (1930), elle évoque le souvenir de sa mère tant aimée, puis son père, l'amour qui unissait ses parents et raconte son enfance heureuse. Les Vrilles de la vigne (1908) rassemblent des confidences, dialogues et textes courts dans lesquels on retrouve tous les thèmes chers à Colette : l'amour, l'indépendance, la solitude, les souvenirs, les bêtes, la nature...Oeuvre prescrite - bac de françaisDossier et parcours : La célébration du mondePar Alice Duroux-Gauchet- Biographie de l'autrice, histoire de l'oeuvre- Contexte historique- Lectures linéaires et étude d'ensemble de l'oeuvreProlongements interdisciplinaires : histoire des arts / histoireQuestions de grammaire, sujets de bac, groupement de textes, fiches méthode, glossaire.
Colette est très spéciale je la trouve assez étrange presque dérangée. Ses propos et relations avec les autres peuvent être très spéciaux. Cependant quelques textes des Vrilles de la vigne m'ont plu et le regard réflexif qu'elle a sur son passé est intéressant.
Askip c'est bien
Une écriture lyrique magnifique, premier livre de Colette que je lis et je suis loin d'en être déçu. Un récit simple mais que la plume rend magnifique, des relations complexe ou bien naturelle..
J’ai bien aimé la partie Sido mais beaucoup moins les nouvelles des Vrilles de la vigne
Œuvre présentée au Bac de français. Pages : 132 « Sido » de Colette est un livre d’une poésie incroyable. Un livre d’un temps désormais révolu : celui où les écrivains ne faisant pas que relater étaient des poètes autant que des peintres de la nature, de l’âme et des relations humaines. Colette y rend hommage en trois chapitres à Sido, sa mère libre penseuse de qui, à n’en pas douter, elle en hérita son anti conformisme et son aspiration à la liberté ; à son père, dans le deuxième chapitre, ce père aux yeux pers, le capitaine Colette, percepteur de métier, unijambiste dont Colette ne ressentit que tardivement tout l’amour qu’il portait à sa femme et à sa fille ; à ses deux demis frères, les sauvages, dans le troisième chapitre, qui, restèrent, toute leur vie durant, de grands enfants…Un livre court qui dit tout l’amour et le respect que portait Colette aux siens.