Die Hard 4 - retour en enfer

John ?

Ça se finit bien. Maclane sauve sa fille et un PIRATE informatique. Tout se joue autour des hackers qui font une liquidation : phase 1 traffic routier tous les feux au vert. Phase 2 : la bourse, la thunasse tu connais comme d'hab, phase 3 : énergies nucléaire, gaz, lumos non maxima etc. Scènes d'action sortie de l'espace, rip la femme du méchant mais il s'en foutait. A court de munitions il balance une bagnole sur un hélicoptère OKLM. Etc etc. Puis avion de chasse OKLM vs son semi remorque. Bref. Boum boum. Et boum. KBoum. youpikai pov kon. Voilà voilà. Bisous.

"Recommandé par Kev Simon "Washington D.C., John McClane et un jeune pirate travailent ensemble afin de démonter le cyber-terroriste Thomas Gabriel.""

Du bon vieux John McClane!!

15/20 sur Disney+ Déjà Vu

Quelques scènes idiotes mais sinon très bon film

DINGUERIE

Pas le meilleur, un peu abusé, mais il tient la route

4eme opus des aventures de John McClane, retour en enfer constitue un épisode solide, dans la lignée de ses prédécesseurs. Construit sur un scénario contemporain, et proche de la réalité, Len Wiseman propose un film grand spectacle avec un Bruce Willis plus en forme que jamais doté de la même gouaille que par le passé. Les dialogues, toujours aussi cinglants, nous font apprécier ce retour en force et l'apport de Justin Long apporte davantage d'épaisseur à ceux-ci. Avec ce nouvel opus de 2007, le réalisateur surfe sur la tradition des films des années 80 et son action réaliste truffée d'explosion et de gunfights. On peut toutefois regretter l'apport des effets spéciaux sur la fin qui décrédibilisent le travail fait en amont et qui dénaturent ce qui se faisait simplement dans les 3 premiers. Ceci dit, en faisant évoluer son personnage, dépassé par les enjeux des cyber attaques et en faisant le parallèle en lui mettant dans la patte un jeune hacker, les situations proposées aux deux personnages donnent du punch, du rythme pour nous apporter un très bon divertissement qui aurait gagné à être encore plus solide en leur opposant des adversaires plus étoffés et "méchants", eux qui restent un peu trop lisses après être passés derrière Alan Rickman ou encore Jérémy Irons...