Summary
The disappearance of his child sends a man on a dark path to find the truth.
la fin est bete
Histoire d’un père qui recherche son fils enlevés
Un thriller implacable que l'on suit sous tension. Avec Guillaume Canet, épatant. La Voix du Nord par Philippe Lagouche Il en est un qui crève l’écran. Guillaume Canet, méconnaissable, métamorphosé, amputé de ses tics, trucs et grimaces maniéristes, enfin autorisé à ne pas se regarder jouer. À vif, sans artifice. Qui l’eût cru ? Le Parisien par Pierre Vavasseur Poursuivi par une caméra fébrile, engagée au coeur de l'action, "Mon garçon" est un film bien écrit, imprimé sur pellicule ultrasensible et qui enfourche au fur et à mesure les codes du thriller. La critique complète est disponible sur le site Le Parisien Public par Florence Roman Si vous avez aimé "Prisoners", ce polar incroyable dans lequel Hugh Jackman cherche le ravisseur de sa fille, vous serez séduits ! Télé 2 semaines par Emilie Meunier Une véritable expérience au réalisme bluffant ! La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines Critikat.com par Benoît Smith "Mon garçon" ne commet aucune faute de goût dans son exécution de motifs familiers de son schéma narratif, réussit un ou deux jolis coups de tension, mais dans l'ensemble ne surprend que peu et jamais durablement. La critique complète est disponible sur le site Critikat.com L'Express par Christophe Carrière Le résultat est impeccable, sauf que l'imagination y perd ce que l'ambiance y gagne. Autrement dit, les ressorts de l'histoire ne sont jamais étonnants. Le souci de réalisme, interdisant toute embardée spectaculaire, provoque même un sentiment de frustration. La critique complète est disponible sur le site L'Express L'Obs par Jérôme Garcin Laissons de côté le polar, il n'est pas très original. C'est la manière brouillonne, imprévisible, physique, exaltée dont Guillaume Canet s'en empare, lui-même traqué par la caméra portée de Christian Carion, qui fait l'intérêt de ce film. La critique complète est disponible sur le site L'Obs Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy Sur un sujet douloureusement d’actualité, un film conçu comme une véritable expérience de tournage en s’affranchissant des contraintes d’un scénario préétabli, mais dont la liberté narrative en vient à se mouler dans les formes un peu convenues du film de genre. Le Journal du Dimanche par Barbara Théate Un thriller râpeux où le comédien, transfiguré, infuse une tension, une souffrance et une colère jamais sur-jouées. Les Fiches du Cinéma par Chloé Rolland Christian Carion imagine un polar conceptuel en faisant tourner son acteur sans connaissance du scénario. Un climat de mystère parvient à s’installer, mais sans déboucher finalement sur grand-chose. Positif par Philippe Rouyer Sur toute la première moitié qui fait largement appel à des ressorts psychologiques, le dispositif fonctionne très bien. (...) La seconde moitié, qui se rattache directement au film de genre, avec découverte et poursuite d'un gang de ravisseurs, est moins convaincante. Première par Christophe Narbonne (...) une traque obsessionnelle filmée caméra à l’épaule dans une zone montagneuse dont le caractère menaçant est parfaitement exploité par Carion et son chef op’. Leur travail sur l’espace et le hors-champ culmine dans un dernier acte éprouvant pour les nerfs. Mission accomplie. La critique complète est disponible sur le site Première Studio Ciné Live par Laurent Dijan C'est la noirceur perturbante que l'on retient d'un revenche movie d'autant plus recommandable qu'il s'affranchit de toute morale douteuse inhérente au genre. Télé 7 Jours par Isabelle Magnier Si le concept, audacieux, nous prive d'un scénario fouillé, ce thriller d'une rare intensité distille ce qu'il faut de suspense et d'angoisse ! N'est-ce pas ce que l'on attend d'un bon polar ? Voici par Lola Sciamma Canet s'est jeté corps et âme dans ce thriller, tourné en six jours, sans lire le scénario pour tout découvrir en même temps que son personnage. Pari réussi. aVoir-aLire.com par Claudine Levanneur Si l’on salue bien volontiers la grande qualité de l’interprétation de ce cinquième long-métrage de ce fils d’agriculteurs, on se surprend à regretter l’authenticité de ses précédentes fresques rurales ou historiques. La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com Le Figaro par La Rédaction Présenté au 10e Festival du film francophone d'Angoulême fin août, ce thriller n'a pas laissé un souvenir impérissable. La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Les Inrockuptibles par Alexandre Buyukodabas Si Guillaume Cent semble se prendre allègrement au jeu, n’est pas Hong Sangsoo qui veut : l’improvisation est une chimie du hasard et de l’instant dont on doit embrasser les déraillements, pas un palliatif à un schéma narratif trop calibrée. Paris Match par Yannick Vely Dommage que le scénario ne tienne pas toutes les promesses de sa première partie, laissant beaucoup trop de zones d'ombre et de questions sans réponse. C'est certainement volontaire mais cela témoigne aussi d'une facilité d'écriture, laissant tout le poids émotionnel du polar sur les épaules de son héros. La critique complète est disponible sur le site Paris Match Sud Ouest par Sophie Avon La tension du début se relâche à mesure que le récit louvoie entre fausses pistes et scènes gratuites, cherchant à progresser dans la sécheresse du registre mais faisant trop de concessions au genre et ôtant toute intériorité au parcours.
De bons acteurs. Malheureusement le scénario reste trop pauvre pour un film.
C'est leeeeent et l'histoire n'est vraiment pas bien menée. Fin ennqueu de poisson. Canet bof bof
Un peu trop de violence à mon goût.