
1992
•
Crime / Drama
•
1h39
Summary
When a simple jewelry heist goes horribly wrong, the surviving criminals begin to suspect that one of them is a police informant.
Public Opinion
3.9k reviews
8/10
8.3/10
Reservoir Dogs captivates with its intense, non-linear storytelling and sharp dialogue, hallmarks of Quentin Tarantino's style. Viewers praise the film for its compelling character dynamics and the iconic, albeit graphic, torture scene. The film's minimalistic setting intensifies the drama, making every moment count. While some find the violence excessive, the majority are enthralled by the clever plot twists and the raw, emotional performances of the cast.
👍 Iconic dialogue and intense character interactions.
👎 Graphic violence may be off-putting for some.
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6,5 : J'aime beaucoup les œuvres de Tarantino de manière générale, mais je m'étais endormie en regardant celui-là quand j'étais ado, et maintenant je sais pourquoi... Ça parle encore plus pour ne rien dire que dans Pulp Fiction. Le concept est intéressant, mais c'est lent et pas toujours passionnant. Je salue l'intrigue, mais je pense que ce film est assez oubliable malheureusement.
Gore
Les autres films du réalisateur seront bien mieux représentatifs du génie du cinéaste (tension, volte-faces, trahison, violence, dérision, etc.). Reservoir Dogs (1992) étant le plus complet d’entre eux, certes. Oui… Casino (1995) n’a rien à voir avec ce film, mais est sûrement plus rassasiant en termes de gang.
SURCOTÉ j’ai même pas pu rester concentrée dessus tellement c’était pas ouf, on ressent que c’était le début de sa carrière
Toujours un kiffe à revoir Lawrence Tierney (Joe, the boss) guest-starred as Elaine Benes's gruff father Alton Benes in the Seinfeld episode "The Jacket". Why am I Mr Pink? Because you’re a faggot Mr Pink : “I dont tip”
Recommandé par l'IA Memorizer
++Casting +++Scene torture - Narration non linéaire moins maîtrisée que PF -Dialogues parfois trop longs
Reservoir Dogs (1992), réalisé par Quentin Tarantino, soulève plusieurs thèmes forts et récurrents dans le cinéma de genre, souvent traités de manière crue et stylisée. Voici les principaux thèmes abordés : 1. La trahison et la loyauté Le cœur du film repose sur la question de la trahison, avec l'infiltration d'un policier dans un groupe de criminels. Cela permet d'explorer les tensions entre fidélité à un groupe et devoir moral ou légal, ainsi que les conséquences de la trahison dans un environnement où la loyauté est primordiale. 2. La violence La violence, souvent graphique et choquante, est omniprésente. Tarantino ne l’utilise pas seulement pour le choc visuel, mais pour explorer la brutalité humaine, la perte de contrôle, et les limites de la moralité dans des situations extrêmes. 3. L’identité et le mensonge Les personnages portent des pseudonymes (Mr. White, Mr. Pink, etc.), ce qui renforce le thème de l’anonymat, du masque social et du mensonge. Cela souligne aussi la désindividualisation dans les relations criminelles et les difficultés à faire confiance. 4. La paranoïa Une grande partie du film est dominée par la suspicion : qui est le traître ? Cette paranoïa alimente la tension narrative et met en lumière la fragilité des alliances fondées sur l’intérêt plutôt que sur des valeurs partagées. 5. La masculinité toxique Le groupe est composé exclusivement d’hommes, souvent agressifs, orgueilleux et violents. Le film interroge (ou reflète) une forme de virilité brutale, marquée par l’ego, le contrôle et la domination. 6. Le destin et le chaos Malgré une planification méticuleuse, tout échoue. Le film évoque donc l’idée que le chaos est toujours possible, que le contrôle est illusoire, et que les choses dérapent souvent de manière imprévisible.
Mauvais points : Le film est vieux et les bagarres sonnent très fausses. Mr Blonde se décide à brûler vivant le policier juste car c'est un psychopathe, ça semble exagéré. Bon point : film court racontant une histoire courte donc on ne décroche pas. On ne devine pas qui est le traître avant qu'il soit dit. La fin voit un des protagonistes partir avec le magot quand tous les autres s'entretuent. Mr White tuent ses amis pour sauver Mr Orange qui est en réalité le traitre, ils sont donc mort pour rien et lui aussi par la même occasion. Une fin réaliste car tout le monde ne meurt pas.