Summary
Increasingly overshadowed by her boyfriend's recent rise to fame as a contemporary artist creating sculptures from stolen furniture, Signe hatches a vicious plan to reclaim her rightfully deserved attention within the milieu of Oslo's cultural elite.
"Si je devais citer un film sur l’autodestruction, ce serait très certainement Sick of Myself. Ce film norvégien illustre brillamment les conséquences d’une obsession maladive pour attirer l’attention, tout en offrant une critique acerbe du narcissisme qui gangrène notre société. Il explore avec intelligence la manière dont chacun perçoit et exploite les épreuves qu’il traverse pour briller aux yeux des autres. Le récit s’articule autour d’un couple de personnages principaux, enfermés dans une bulle toxique où chaque aspect de leur vie doit être mis en scène et surexposé. Leur relation, profondément dysfonctionnelle, ne se limite pas aux mots mais s’étend à des actions extrêmes et destructrices. Le film pousse son propos très loin, mêlant comédie noire et body horror, le tout sublimé par une photographie scandinave à la fois froide et percutante. Bien que le concept perde un peu de souffle dans les dernières minutes, Sick of Myself reste une œuvre marquante et perturbante, qui interroge nos comportements et laisse une impression durable. Un film à découvrir pour son audace et son regard critique sur les dérives de notre époque."
"Si je devais citer un film sur l’autodestruction, ce serait très certainement Sick of Myself. Ce film norvégien illustre brillamment les conséquences d’une obsession maladive pour attirer l’attention, tout en offrant une critique acerbe du narcissisme qui gangrène notre société. Il explore avec intelligence la manière dont chacun perçoit et exploite les épreuves qu’il traverse pour briller aux yeux des autres. Le récit s’articule autour d’un couple de personnages principaux, enfermés dans une bulle toxique où chaque aspect de leur vie doit être mis en scène et surexposé. Leur relation, profondément dysfonctionnelle, ne se limite pas aux mots mais s’étend à des actions extrêmes et destructrices. Le film pousse son propos très loin, mêlant comédie noire et body horror, le tout sublimé par une photographie scandinave à la fois froide et percutante. Bien que le concept perde un peu de souffle dans les dernières minutes, Sick of Myself reste une œuvre marquante et perturbante, qui interroge nos comportements et laisse une impression durable. Un film à découvrir pour son audace et son regard critique sur les dérives de notre époque."
Noté 8/10 par Anthony Ramos "Si je devais citer un film sur l’autodestruction, ce serait très certainement Sick of Myself. Ce film norvégien illustre brillamment les conséquences d’une obsession maladive pour attirer l’attention, tout en offrant une critique acerbe du narcissisme qui gangrène notre société. Il explore avec intelligence la manière dont chacun perçoit et exploite les épreuves qu’il traverse pour briller aux yeux des autres. Le récit s’articule autour d’un couple de personnages principaux, enfermés dans une bulle toxique où chaque aspect de leur vie doit être mis en scène et surexposé. Leur relation, profondément dysfonctionnelle, ne se limite pas aux mots mais s’étend à des actions extrêmes et destructrices. Le film pousse son propos très loin, mêlant comédie noire et body horror, le tout sublimé par une photographie scandinave à la fois froide et percutante. Bien que le concept perde un peu de souffle dans les dernières minutes, Sick of Myself reste une œuvre marquante et perturbante, qui interroge nos comportements et laisse une impression durable. Un film à découvrir pour son audace et son regard critique sur les dérives de notre époque."
Noté 8/10 par Anthony Ramos "Si je devais citer un film sur l’autodestruction, ce serait très certainement Sick of Myself. Ce film norvégien illustre brillamment les conséquences d’une obsession maladive pour attirer l’attention, tout en offrant une critique acerbe du narcissisme qui gangrène notre société. Il explore avec intelligence la manière dont chacun perçoit et exploite les épreuves qu’il traverse pour briller aux yeux des autres. Le récit s’articule autour d’un couple de personnages principaux, enfermés dans une bulle toxique où chaque aspect de leur vie doit être mis en scène et surexposé. Leur relation, profondément dysfonctionnelle, ne se limite pas aux mots mais s’étend à des actions extrêmes et destructrices. Le film pousse son propos très loin, mêlant comédie noire et body horror, le tout sublimé par une photographie scandinave à la fois froide et percutante. Bien que le concept perde un peu de souffle dans les dernières minutes, Sick of Myself reste une œuvre marquante et perturbante, qui interroge nos comportements et laisse une impression durable. Un film à découvrir pour son audace et son regard critique sur les dérives de notre époque."
Si je devais citer un film sur l’autodestruction, ce serait très certainement Sick of Myself. Ce film norvégien illustre brillamment les conséquences d’une obsession maladive pour attirer l’attention, tout en offrant une critique acerbe du narcissisme qui gangrène notre société. Il explore avec intelligence la manière dont chacun perçoit et exploite les épreuves qu’il traverse pour briller aux yeux des autres. Le récit s’articule autour d’un couple de personnages principaux, enfermés dans une bulle toxique où chaque aspect de leur vie doit être mis en scène et surexposé. Leur relation, profondément dysfonctionnelle, ne se limite pas aux mots mais s’étend à des actions extrêmes et destructrices. Le film pousse son propos très loin, mêlant comédie noire et body horror, le tout sublimé par une photographie scandinave à la fois froide et percutante. Bien que le concept perde un peu de souffle dans les dernières minutes, Sick of Myself reste une œuvre marquante et perturbante, qui interroge nos comportements et laisse une impression durable. Un film à découvrir pour son audace et son regard critique sur les dérives de notre époque.
Une histoire, un angle de vue sur la maladie mentale grave interessant