Memory Image

The People We Hate at the Wedding

logo memorizer

6.4/10

2022

Comedy

1h39

Watch online

Prime Video

Subscription

arrow right

Pluto TV

Subscription

arrow right

More infos

Summary

Family tensions ramp up among siblings in the week leading up to their half-sister's wedding in the country.

Community Reviews

Public Opinion

user icon

38 reviews

memorizer logo

6.4/10

IMDB logo

5.8/10

logo memorizer

Discover if your friends have added it

Reviews and Comments

17 reviews
Adele Goutalrated ★ 2/10
May 6, 2024

Vraiment très très nul.

Adèle Goutalrated ★ 2/10
August 30, 2023

Bizarre

Orlane rated ★ 5/10
May 12, 2023

ça me donne un peu l’impression d’avoir regardée une version alternative de « the big wedding » mais Ben Barnes en moins, c’était vraiment pas le film de l’année, c’est sympa vite fait mais il est pas incroyable, l’histoire est pas folle et il est pas spécialement drôle

Emilie Arated ★ 7/10
April 18, 2023

Rom-com bien sympa avec des acteurs cools, très feel good

Elise Iztuetarated ★ 10/10
January 21, 2023

Prime Video

Tl
Thomas le vaillantrated ★ 5/10
January 8, 2023

• comédie romantique • de Claire Scanlon • États-Unis • 1h39 • 2022 • Scénario : Lizzie Molyneux-Logelin et Wendy Molyneux, d’après le roman de Grant Ginder • Avec Kristen Bell, Ben Platt, Allison Janney, Isaach de Bankolé et Cynthia Addai-Robinson. On ne donnait pas cher de cette romcom, mais la réalisatrice Claire Scanlon et les sœurs Molyneux au scénario en font une étude de mœurs familiale sincère, doublée d’une amusante remise en question des effets délétères de la masculinité toxique. Les contes de fées n’existent pas, mais le cinéma veut toujours nous faire croire le contraire. C’est d’ailleurs ainsi qu’on juge une bonne romcom : par sa capacité à nous duper, le temps d’une étreinte bien trop fraternelle ou tire-larmes pour être vraie. Pari réussi pour la cinéaste Claire Scanlon (The Office, Petits Coups Montés). Avec The People We Hate at the Wedding (littéralement « les gens qu’on déteste aux mariages »), disponible ce vendredi sur Amazon Prime Video, on finit par se faire avoir. Au début, pourtant, comme dans pas mal de comédies romantiques américaines qui lorgnent vers les cousines anglaises, on s’agace un peu de cette mécanique trop huilée, ses archétypes : les vies tristes et confuses, oui, mais incroyablement cool, bien sûr – le flegme revenu de tout – et la punchline qui tape toujours trop juste. Jusqu’à sentir une forme de lassitude dans la formule, pas aidée en ce sens par une mise en scène à la limite du je-m’en-foutisme. Heureusement, les sœurs Molyneux (Bob’s Burgers, The Great North), la vista américaine au bout de la plume, ont su écrire un scénario plus pétillant qu’attendu, touchant aussi, en adaptant avec une certaine malice le roman éponyme de Grant Ginder. Soit une famille dysfonctionnelle, donc, comme il est de coutume de les appeler (y a-t-il seulement des familles « fonctionnelles », à la manière des ouvre-boîtes ?) : une sexagénaire aussi flamboyante que célibataire (Allison Janney), bien mieux seule après deux mariages ratés ; sa fille aînée, Eloise (Cynthia Addai-Robinson), issue d’une première union éphémère avec un Français volage (Isaac de Bankolé), et les deux derniers, Paul et Alice, à la vie sentimentale compliquée outre-Atlantique. Une famille morcelée, donc, éparpillée aux quatre coins du globe, que la mère poule aimerait réunir à l’occasion des noces d’Eloise, en Angleterre. Sauf qu’elle est bien la seule : Paul (Ben Platt), qui se démène avec un amant peu amène, a coupé les ponts avec la matriarche, persuadé de sa responsabilité dans le divorce de ses parents. D’autant qu’avec Alice (Kristen Bell), assistante et maîtresse désœuvrée d’un patron beaucoup trop charismatique, ni l’un ni l’autre ne veulent renouer avec la riche demi-sœur londonienne. Sa réussite, ses manières guindées, son manque d’empathie lors d’un drame passé ne sont pas au goût des Yankees : un véritable pot-pourri d’aigreur, de haines recuites jamais digérées, de relations amoureuses chaotiques, de petits boulots mal considérés… le cupcake est plus amer qu’on ne l’aurait cru. Au fil de l’eau, ce qu’on appréhende comme de simples clashs d’ego révèle vite, en creux, une certaine critique de la masculinité toxique et ses effets délétères, dans la famille comme au bureau. Car pendant que la sororité et l’enfance s’abîment dans les querelles intestines, qu’on s’en prend qui à la mère, qui à la sœur, les vrais responsables, à savoir les maris infidèles, les papas homophobes et les trousseurs d’assistantes, triomphent au chaud, lovés dans la mollesse de leur lâcheté. Alors, au mariage de raison ou de déraison, Claire Scanlon préfère sans doute la communion de la sincérité et des affects. Reconnaissons qu’elle sait être sacrément convaincante. TÉLÉRAMA • Joseph Boinay • Publié le 18/11/22.

List

Memorizer Logo
Mobile App Preview

Try the mobile version

Enjoy a complete and optimized experience with the mobile version of Memorizer. Record, note, and share memories in just a few clicks.