Public Opinion
450 reviews
8/10
7.9/10
Viewers are deeply moved by 'Shoplifters', praising its poignant and human portrayal of a makeshift family living on the fringes of society in Tokyo. The film's blend of humor and tragedy, coupled with its exploration of complex moral questions and familial bonds, resonates strongly. Critics and audiences alike appreciate the subtle storytelling, the depth of character development, and the film's ability to challenge societal norms while maintaining a heartfelt narrative.
👍 Deeply human portrayal of family
👎 Pacing may feel slow to some
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Incr
8,5
Kore-Eda nous plonge à nouveau dans les thèmes qui lui son cher: la famille, la filiation, l’enfance. Cette fois encore avec talent. Un film superbe, des moments de grâce, d’amour pur, remarquablement interprétés, une fois de plus, par une Sakura Andô magistrale. Lily Franky est, lui aussi, très bon. Un film sans faux-semblant, qui questionne la justice et la parentalité sans ignorer la violence qui peut en résulter.
J'ai plutôt bien aimé doux et "dramatique" en même temps
C’est intéressant de voir que même au bout du monde. Avec une culture et un mode de vie différent, on s’en sort comme on peut. Avec pour valeur principale : le travail partagé. L’amour et l’entraide est une façon de survivre dans ce monde parfois trop dur.
Palme d'or 2018 Encore un film d'hirokazu sur les liens familiales, cette fois ci on suit une sorte de famille recomposée dans le Tokyo bien pauvre. Le rythme est assez lent, on voit pas toujours ou ça va mais ça reste un très bon film assez touchant sur le sens de la famille. On y voit un Japon que l'on ne voit jamais, bordélique, sale, pas travailleur, etc. Et rien que pour ça vaut la peine de le voir.
Très beau film, émouvant.
Le portrait d'une famille tout à fait atypique. Au niveau du rythme c'est assez lent, mail il y a vraiment de très très belles scènes sur des sujets comme l'amour maternel, la solitude... Le cinéma japonais a vraiment l'art de marquer les esprits. Film assez triste néanmois
Récompense de la Palme d'or, Hirokazu Kore-eda réalise ce qu'il fait de mieux, à savoir ne pas cacher l'affection profonde qu'il éprouve pour ses personnages et évoquer l'enfance. Affection qui est contagieuse, car elle atteint le spectateur. Avec de véritables moments d'humanité.