Résumé
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L’enquête de police n’aboutira jamais. Des années plus tard, au début de l’été 2018, lorsqu’un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d’imaginer qu’il va se retrouver plongé dans cette affaire. Que s’est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier ? Avec la précision d’un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au cœur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça
Très bien, j'avais pas vu venir grand chose J'ai étais vite prise dedans Par contre ça devient un peu long les "on va être ensemble" "Ah non" a répétition La fin une vrai merde : olala ce n'est que dans ma tête xptdr trop drôle, va te faire mettre
Trés prenant….mais trés alambiqué avec des retours en arrière
Policier très long, beaucoup de personnages (qui sont au final la même personne). Meurtre dans un palace dans les Alpes suisses dans le cadre de devenir président d’une banque suisse reputée !
Du bon Joel Dicker. Un roman qui se lit vite et qui tient en haleine.
Il n’est pas de plus belle expérience que le rire. Le rire constitue une sorte de perfection inaltérable : on ne le regrette jamais, on le vit toujours pleinement. Lorsqu’il se termine, on est toujours satisfait. On en voudrait encore, mais sans en réclamer davantage. Même le souvenir du rire et toujours agréable. Je pourrai continuer à t’apprendre tout ce que je sais. Transmission. C’est comme ça que les gens ne meurent jamais vraiment : quand bien même leur corps peut être rongé par les vers de terre, leur esprit survit au travers de quelqu’un d’autre. Tu pourrais devenir un homme important, tu sais. L’importance n’est pas tangible. C’est un rapport aux autres, pas à soi-même. Il est une formule difficile d’appliquer quand on est parents : vivre et laisser vivre. J'ai passé ma vie à la perdre. À trop vouloir gagner d'argent, à trop vouloir, diriger le monde, à vouloir toujours plus de pouvoirs. À trop vouloir déterminer le destin des autres, on oublie qu'on ne peut influencer que le sien. La vie est un roman dont on sait deja comment il se termine, le héros meurt. Le plus important n’est donc pas comment l’histoire s’achève mais comment nous en remplissons les pages.
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