
2016
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Guillaume Musso
Résumé
" Souviens-toi que l'on a deux vies. La seconde commence le jour où on se rend compte que l'on n'en a qu'une. " Pour payer ses études d'art dramatique, Lisa travaille dans un bar de Manhattan. Elle y fait la connaissance d'Arthur Costello, un jeune médecin urgentiste. En apparence, il a tout pour plaire. Mais Arthur n'est pas un homme comme les autres. Deux ans plus tôt, il a hérité de la résidence de son grand-père : un vieux phare isolé dans lequel une pièce a été condamnée. Malgré sa promesse, il a choisi d'ouvrir la porte, découvrant une vérité bouleversante qui lui interdit de mener une vie normale. Sa rencontre avec Lisa va tout changer et lui redonner une raison d'espérer. Dès lors, Arthur et Lisa n'ont qu'une obsession, déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps. Un suspense psychologique vertigineux au final stupéfiant.
Un peu déçue de la fin
On est dans l'histoire de vie de 24 heures puis tout à coup on comprend que c'est un écrivain
Roman bien écrit, suspens jusqu'au bout
Franchement j’ai adoré ce livre. Guillaume Musso a toujours ce même goût pour l’énigmatique et le mystère, tout en gardant un aspect “réel”, on a la sensation que ça pourrait presque se passer dans la vraie vie. Je ne sais pas trop quoi penser de cette fin, peut-être que je ressens une forme de déception. Malgré tout j’ai adoré cette histoire, avec un rythme soutenu sans jamais en faire trop
Un roman qui tient en haleine bien qu'un peu répétitif, je reste un peu déçue par la chute du roman et sa fin
Phare des 24 vents Famille qui se déchire Cathartique Amour Malédiction
Un bon suspens quoique un peu long car pas assez d'intrigue au cours de la lecture. Une fin à laquelle on ne s'attend pas. Belle histoire avec une très belle phrase: souviens toi que l'on a deux vies. La seconde commence le jour où on se rend compte que l'on n'en a qu'une. Lu 25 août 2023
Du Musso dans toute sa splendeur. L'écriture est fluide, rythmée. La fin est surprenante, mais je la trouve un peu plus "brouillon" que d'habitude. Et même si le schéma commence a être connu, la lecture reste toujours très agréable