Résumé
Au cœur de la nuit, à Minneapolis, des intrus pénètrent la maison de Luke Ellis, jeune surdoué de 12 ans, tuent ses parents et le kidnappent. Luke se réveille à l’Institut, dans une chambre presque semblable à la sienne, sauf qu’elle n’a pas de fenêtre. Dans le couloir, d’autres portes cachent d’autres enfants, dotés comme lui de pouvoirs psychiques. Que font-ils là ? Qu’attend-on d’eux ? Et pourquoi aucun de ces enfants ne cherche-t-il à s’enfuir ? Aussi angoissant que Charlie, d’une puissance d’évocation égale à Ça, L’Institut nous entraîne dans un monde totalitaire... qui ressemble étrangement au nôtre. Le nouveau chef-d’œuvre de Stephen King.
franchement très cool un jeune garçon de fait kidnappé et se réveille dans une chambre similaire à la sienne fictif/ irréel un peu long par passage idée très cool et facile à lire
J'ai adoré.
Incroyable du début à la fin Un peu too much sur la fantaisie mais le raisonnement est pertinent donc 👍
J’ai eu du mal à lâcher le livre ! J’ai adoré !
Ah, quel bonheur d’ouvrir un livre de Stephen King et de me plonger dans l’Amérique vu à travers ses yeux. Ce n’est clairement pas sa meilleure création mais retrouver la familiarité de ses personnages, le mordant de ses mots, l’intimité de son univers suffit à rendre la lecture agréable. Ajoutez à cela un jeune garçon éminemment intelligent et une organisation à échelle mondiale qui kidnappe et utilise des enfants pour sauver le monde, et je suis perdue. J’ai aimé rencontrer tous ses enfants et rester coincée avec eux entre les murs de l’Institut dont je voyais les couloirs, les chambres et la cour avec une vivacité saisissante. J’ai aimé être perdue et essayer de réunir toutes les petites miettes d’informations disséminées à travers le récit pour saisir les enjeux dont il était question - même si parfois, tout était volontairement confus. Et puis, Luke. Son génie, évidemment, mais aussi sa gentillesse, sa vulnérabilité et, surtout, son courage. Parcourir et affronter les obstacles dressés sur son chemin, je ne suis pas sûre que j’aurais pu. Et je suis tellement heureuse qu’il ait trouvé Tim (que j’adore, c’était un plaisir de suivre son périple du début alors qu’il ne se passait rien de spécial) et Wendy. Il a trouvé des figures parentales aimantes et a obligé Tim à être père. Finalement, il a trouvé plus que les autres. J’aime globalement tous les enfants rencontrés sauf Nick et Kalisha qui a brisé le cœur de Luke. Et ils font trop couple d’ados populaires alors qu’ils ont 12 ans. Je saigne encore pour Avery qui aurait mérité mieux mais c’est aussi ça, Stephen King. Des fins douces-amères imprégnées de la crudité et de la cruauté de notre monde. J’en veux plus. Edit : je crois que King n’est pas très bon pour les dénouements. Tous les détails et l’évolution de l’histoire sont rodés, parfait, tellement qu’il devient compliqué de les résoudre de manière satisfaisante, d’où ses explosions et ses destructions parfois insensées.
Très bon livre