Résumé
Depuis la dernière enquête du capitaine Victor Coste et de son équipe, le calme semble être revenu au sein du SDPJ 93. Pas pour longtemps, hélas ! L'exécution sommaire de trois jeunes caïds va les entraîner sur des pistes inimaginables. Des pains de cocaïne planqués chez des retraités, un chef de bande psychopathe d'à peine treize ans, des milices occultes recrutées dans des clubs de boxe financés par la municipalité, un adjoint au maire découvert mort chez lui, torturé... et Coste se retrouve face à une armée de voyous impitoyables, capables de provoquer une véritable révolution. Mais qui sont les responsables de ce carnage qui, bientôt, mettra la ville à feu et à sang ? Avec ce polar admirablement maîtrisé, Olivier Norek nous plonge dans une série de drames terriblement humains et de stratégies criminelles – loin d'être aussi fictives qu'on pourrait le croire – où les assassins eux-mêmes sont manipulés.
Super histoire, un régal de suspense 👍
Résumé 3 barons de la drogue sont exécutés simultanément. Un nouveau parrain va s'installer. Une maire qui utilise des fonds publics pour contenir et entretenir un lien avec les cités, des jeunes de cités extrêmement violents, Norek dépeint la violence des cités, les combines politiques et l'injustice de manière très précise et prenante. Avis Livre intéressant, très réaliste, plus simple à suivre que code 93. On y retrouve la même équipe que dans le tome précédent. Quelques passages durs à lire (extrême violence)
Les banlieues - la drogue - les politiques pourris . Cruellement réaliste
très bien
Le résumé dit tout on est plongé dans un traffic de drogue dans La ville de Malceny dans le 93 La ville est dirigée par « la reine » Vesperini. La maire pour tenir sa ville s’allie aux caïds de la cité pour maintenir le calme. elle a dans ses collaborateurs des gens issus des cités parfois des malfrats chargés de réguler les tensions au sein de la cité. Ce sont les infra5 bac moins 5 car seul 30% des han ont obtenu un Bep du coup la mairie se charge d’embaucher une partie des 70% qui n’ont rien Elle laisse prospérer les dealers et leur économie parallèle qui contrôle les autres. Elle est un personnage trouble capable de s’allier avec les pires caïds pour assoir son pouvoir. Une femme qui tire sa citation préférée des Mains sales, de Jean-Paul Sartre : « Moi j'ai les mains sales. Jusqu'aux coudes. Je les ai plongées dans la merde et dans le sang. Et puis après ? Est-ce que tu t'imagines qu’on peut gouverner innocemment ? » Tout roule jusqu’au jour où un nouveau caïd apparaît dans le paysage et fait éliminer les 3 dealers qui régnaient sur la cité pour prendre le pouvoir. Pb la nourrice un retraité de la cité qui gardait le magot de ce nouveau patron, se rend à la police et la police saisit la drogue qui était destiné à asseoir l’autiste du nouveau boss Vesperini va devoir dès lors composer avec ce nouvel interlocuteur qui lui réclame d’emblée 200 000 euros pour compenser la saisie policière de sa marchandise . Vesperini sait qu’une émeute coûte énormément d’argent à l’Etat, qu’elle dégrade l’image de la ville et la crédibilité des gens qui la dirige. Elle sait que tout le monde a intérêt à l’éteindre le plus rapidement possible. Et pour cela, il y a un moyen simple : payer ceux qui sont à l’origine de l’émeute avec ce qu’on appelle un « budget d’urgence ». En gros, on arrive avec des sacs remplis de pognons, on leur donne et on leur dit : « Calmez-vous s’il vous plaît ». Résultat, un jackpot de 5 millions d’euros... La maire envoie ses policiers municipaux verbaliser une femme voilée un soir de ramadan. Et là curieusement des jeunes cagoules envoyés par le boss démarrent l’émeute. Les policiers sont seuls, malmenés, en danger et pour échapper à la foule en colère ils quittent la zone à toute allure renversant un scooter : un mort .. qui devient un marthyr et la cité s’enflamme, incontrôlable même si le gosse en question n’est autre que Bibz l’un des hommes de main du caïd, 13 ans mais un vrai caïd cruel violent incontrôlable un tueur L’émeute devient incontrôlable et l’argent de l’Etat finit par tomber
J'ai tout autant aimé ce livre que le précédent, code 93, avec la même équipe de policiers très attachante et intéressante. L'histoire était passionnante. Du très bon policier. J'attaque le suivant.