Résumé
Jouez en tant que Noctis, le prince héritier du royaume de Lucis, alors que vous cherchez à reprendre votre patrie à l'armée impériale. Avec vos amis les plus proches à vos côtés, vous voyagerez à travers le monde époustouflant d'Eos, rencontrant des bêtes gigantesques et des ennemis impitoyables. Affrontez des combats palpitants en apprenant à maîtriser vos armes et vos compétences magiques en canalisant le pouvoir de vos ancêtres.
Histoire moins prenante que d’autre opus
J’aurais aimé l’aimer. Final Fantasy XV est un Action-Rpg développé par Luminous Production et édité par Square Enix, il est sorti en 2016. Vous incarnez Noctis Lucius Caelum, héritier au trône du Lucis, qui doit rassembler les armes pour reconquérir sa patrie après qu’Insomnia , la capitale du Lucis, soit tombée après que l’empire du Nifelheim l’ai détruite de l’intérieur. Vous serez accompagné de 3 amis durant l’aventure; Ignis, Gladiolus et Prompto. Commençons par ce qui marche ; l’aspect camaraderie et entraide entre copains, le côté road trip est vraiment réussi et leurs discussions sont un ajout sympathique bien qu’il ne soit pas toujours bien écrit, leurs commentaires sur certaines situations et quêtes secondaires ajoutent un petit charme au jeu. La bande-son, fer de lance dans les Final Fantasy, est sublime, une des meilleures de la saga, rien que Somnus et Sunsetz Waltz méritent d’être écoutées. Hélas c’est malheureusement ce qu’il y a de plus développé dans le jeu, le côté road-trip , malgré sa qualité ne colle pas avec le synopsis du jeu et dénote beaucoup trop avec son ton tragique, on ne va pas faire du camping ou des courses de chocobos lorsque l’on vient de tout perdre et qu’on doit reconquérir sa patrie. Le gameplay souffre aussi d’une certaine redondance , il y a une seule touche pour attaquer et une autre pour esquiver ou parer, pas de mouvement spéciaux, pas de combos de touches, ce qui est très dommage pour un jeu qui se veut plus dans l’action, le tout reste cependant assez élégant à regarder bien qu’il soit peu profond. L’univers aussi manque de cohérence, mêler fantaisie et époque contemporaine est sur le papier une bonne idée, et donne lieu à de beaux , voire très beaux paysages mais quand des monstres rôdent tout autour de ces structures, pourquoi ne pas les protéger avec des clôtures ou des gardes, bien que cela soit justifier par la présence de chasseur. L’histoire est ici peu engageante et démontée en kit, le jeu manquant de finition malgré ses 10 ans de développements. En conclusion, de cet ensemble résulte un jeu malheureusement moyen mais qui avait le potentiel d’être vraiment bon s’il n’y avait pas eu de changement de direction en interne.
A finir ! Dernier chapitre