Alien vs. Predator

Pas ouf trop d'attente avant de voir le combat alien vs predator, les humains sont trop présentés alors qu'on s'en fou un peu. Certzins moment étaient ridicule aussi. Par contre il y avait un beau plan sur la tête du predator et de l'alien qui se rapprochent pour arriver face a face. Et quelques combats pas mal.

⭐️⭐️⭐️⭐️ A la negrita se la pelan Guerrera Oe noooo se fucionaron

Película entretenida y pasa rápido. Estilo antigua, me gustaron los efectos especiales y fácil de seguir. Me las estoy viendo en orden cronológico y no de estreno para ver qué tal.

Y’a 4 plan sympas

Alien vs Predator c’est la rencontre de deux monstres mythiques du cinéma. Cette idée vient d’un comic de la fin des années 80 et du film Predator 2, où un clin d’œil est fait avec un crâne d'Alien dans le vaisseau du Predator. L’idée est géniale, quelque peu fan service, mais géniale. Mais à sa sortie, le film a été démoli par tout le monde. Pauvre petit film. Pourtant, tout le monde voulait voir les Aliens sur Terre. Toutefois, les gens ont vu sa vraie valeur le jour où les nouveaux de Scott sont sortis. Au cours du film, sera expliqué pourquoi et comment des Aliens et des Prédateurs se retrouvent sur terre ? Le film fait en sorte de s’insérer dans la continuité d’Alien. Il se passe avant la saga Ripley et loin de la civilisation afin de pas créer d’incohérences avec la suite. Car il fallait trouver une raison valide pour que les événements se passent sur terre en 2004. Et en ce qui concerne celle qui pousse tout ce beau monde à se retrouver enfermer en compagnie de ses deux créatures est un peu tiré par les cheveux (une histoire de pyramide qui décongèle sous l’Antarctique) mais le film a conscience de ses problèmes et parvient à trouver des raisons valides pour justifier. Pourquoi l’équipe ne se connaît pas et n’est pas entraîner pour parer à des situations extrêmes, car Weyland n’est pas le seul sur le coup, il faut donc faire dans la précipitation pour ne pas être doublé. De toute façon, le but du scénario est juste de faire en sorte de réunir tout le monde au même endroit et le plus vite possible. Ce n’est donc pas les raisons les plus subtiles qui sont trouvés mais l’importance c’est que ça fait le taff quand même. Le but c’est d’avoir de l’action rapidement. Paul W. S. Anderson n’a jamais été un grand réalisateur, encore moins subtil (saga Résident evil). L’action passant toujours avant la réflexion. C’est toujours le cas ici. Mais dans ce film, il s’en donne à cœur joie démontrant son amour pour la franchise (même si le temps d’incubation et d’évolution de l’Alien est beaucoup trop rapide). Et même si le film veut nous proposer le plus vite possible de l’action (le démontre la scène d’arrivée des prédateurs, sorte d’échauffement pour eux et de présentation pour ceux qui ne les connaissent pas), il prend quand même son temps pour que les événements s’enchaînent correctement afin de parvenir à l’action. Et c'est parce que le film fonctionne à un niveau très clair, sans aucune ambition noble, qu’il n’est pas une pure catastrophe. A aucun moment le réalisateur essaie de se mesurer aux autres films. En effet, on le sent dès le départ on est dans une série B. Peu de budget pour le projet, ce qui donne certains passages un peu cheap notamment l’Alien qui fait un peu trop image de synthèse (60M$, vraiment peu pour ce type de film), avec un scénario qui tient debout, mais il ne faut pas non plus lui souffler dessus, vif et énergique. Car en effet, le film propose de l’action à tout va. Le réalisateur sort de son sac tout l’arsenal des Aliens et des Predators dans cette pyramide dont les pièces changent régulièrement, ce qui permet de renouveler les combats, qui sont assez cool, il faut l’avouer. L’héroïne est une sorte de Ripley ou une Mila Jovovich. Elle fait copain copain avec un Predator comme dans le comic et à la fin, ils la reconnaissent comme une guerrière et elle s’en sort sans aucune blessure. En plus, elle gravit les montagnes en escaladant tout en répondant au téléphone. Ou arrête un homme qui tombe dans un trou grâce à une pioche. Ou encore finit équipe d’un bouclier tête de xenomorphe offert par son nouveau copain. Balaise. Les autres personnages ont le droit à moins de développement sauf deux qui sont quelques peu présentés et dont on a le droit à un peu de profondeur avec des moments de complicité avec notre héroïne pour avoir un peu d’empathie pour eux au moment où ils mourront. Car ce sont des personnages quelque peu fonction qui n’ont pas vraiment d’intérêt que de mourir. Les Prédateurs viennent à trois dans une sorte de rite de passage et se font sacrément défoncés la gueule. Le premier se fait littéralement éclaté par l’Alien dans une scène sacrément stylé avant l’apparition de l’Alien en arrière plan visible au travers de l’invisibilité du prédateur. Le deuxième a le droit à un duel stylé avec l’Alien avant qu’il se fasse éclaté. Le troisième est un peu le héros du film en compagnie de Ripley bis, mais meurt tout de même. Au final, c’est un film sans prise de tête entre Alien et Predator avec au milieu des humains en spectateur. Un plaisir coupable.

Un alien qui a marqué le cinéma horrifique dès sa sortie en salle et un prédateur qui reste l'un des meilleurs blockbuster des années 80, les 2 réunis dans un et même film, une idée de génie sur le papier... Encore faut-il que l'histoire soit bonne.