7.6/10
1998
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Biographie / Drame
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2h35
Résumé
En 1839, la révolte des prisonniers de Mende à bord d'un navire sous pavillon espagnol provoque une controverse importante aux États-Unis. Les tribunaux doivent décider si les Mende sont des esclaves ou des hommes libres.
Pour l’histoire ! Devoir de mémoire
Recommandé par Memorizer, car vous avez aimé 'La liste de Schindler'.
🎬 Steven Spielberg nous présente avec beaucoup de réalisme cette affaire tiré d'un fait réel. Le casting est sensationnel, Morgan Freeman, Matthew McConaughey et Anthony Hopkins mais ici, c'est surtout Djimon Hounsou qui impressionne malgré son peu d'expérience d'acteur. La bande son est superbe mais ce n'est pas une surprise avec John Williams.🎶 La scène du voyage en mer des esclaves est très bien filmée, et en devient presque insoutenable. Un film bouleversant, une histoire d'humanité et de liberté. 🎬 🎬 🎬
1997 Paramount
En 1839, L'Amistad, navire espagnol transportant des esclaves africains, est pris dans une violente tempête au large de Cuba. Une cinquantaine de prisonniers réussissent à se libérer de leurs chaînes et se retournent contre leurs bourreaux, qu'ils passent par les armes. C’est du bon spielberg mais les films historique de ce real m’ennuie. J’ai éteint au bout d’1h de film. C’est un procès basé sur des faits historiques
Drame • (2h32) • 1997 • Etats-Unis • Réalisé par Steven Spielberg • avec Matthew McConaughey, Djimon Hounsou, Morgan Freeman. Genre : plaidoyer humaniste. En 1839, l'Amistad, un navire espagnol chargé d'esclaves, fait route vers une destination inconnue. Une mutinerie éclate à bord, la majeure partie de l'équipage est tuée et le capitaine est pris en otage. Les insurgés exigent qu'il les ramène à leur point de départ, l'Afrique. Mais le capitaine les dupe en les dirigeant vers l'Amérique. Au large des côtes, le bateau est intercepté et les esclaves jetés en prison, accusés de meurtres. Deux fervents défenseurs de l'abolition de l'esclavage, aidés d'un jeune avocat ambitieux, vont tenter de faire libérer les esclaves. Grâce à un formidable réquisitoire et un solide dossier, ils vont y parvenir. Mais la joie est de courte durée : le président Van Buren fait, en effet, casser le jugement... ▫️▫️▫️▫️▫️▫️▫️▫️▫️▫️▫️▪️▪️▪️▪️▪️▪️ En 1839, un navire espagnol portant le nom d'Amistad (« amitié ») est chargé d'esclaves africains. Par une nuit de tempête, ces derniers se mutinent, échouent au Connecticut et sont faits prisonniers. Leur procès va conduire à un débat sur l'esclavagisme qui préfigure la sécession Nord-Sud. Il y avait là matière à un film haletant ; Spielberg s'en acquitte à merveille, mais, hélas, le temps d'un simple récit inséré dans une entreprise plus ambitieuse. Il y a aussi, dans Amistad, un peu d'histoire des Etats-Unis et pas mal de théâtre au prétoire. Spielberg cherche son héros : Baldwin, l'avocat malin, Joadson, l'anti-esclavagiste, ou Cinqué, chef naturel des Africains ? Tous finissent par s'effacer devant leur pays. En voulant élever systématiquement ses personnages au rang de symboles, le film ne cesse de les réduire. Et l'Amérique sort de là purifiée de toute culpabilité, puisque l'esclavage, nous dit-on, c'était surtout les Espagnols qui le pratiquaient, et cela commençait même en Afrique. TÉLÉRAMA • François Gorin.