
2020
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Policier / Drame
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1h48
Résumé
Un propriétaire de restaurant en difficulté, s'occupant de sa mère malade, trouve un sac d'argent dans un casier au sauna, tandis qu'un douanier a des ennuis lorsque sa petite amie s'enfuit avec l'argent qu'il a emprunté à un usurier.
Wtffff je m attendais pas du tout à un film si bien ficellé !!!! C est lorsque j ai vu la meuf tenir le sac LV que je me suis dit OMG LE FILM CE FOUT DE NOUS DEPUIS LE DÉBUT !!!!! Franchement les coréens ils sont trop fort, faut vrm que je m intéresse plus à leurs filmatographie. Du coup on suit 3 personnages ( dans les résumé ils mettent 5, sur la BA ils mettent 6, pour moi c vrm 3 personnes que l ont suit, en tt cas c est 3 histoire découpé) tous en grandes difficultés, mais en mm temps, 3 personnages avec d énormes paires de cpuilles, ce qui fait qu’ils finissent les 3 un peu dans la merde. J ai été trop content de revoir numéro 1, encore une fois il a jouait le rôle du mec un peu paumé faiblard, en vrai ça colle un peu à son physique mdrrr. Ce qui est vrm choquant avec ce film c est comment il est bien ficelle, et ducoup je crois qu’un deuxieme visionnage sera moins bien finalement , comme on connaîtrait tout les plot twist
Violent, stressant, très bien amené
Palpitant
08 08 2020
de Yong Hoon Kim
Lucky Strike 2020 Corée du Sud Réalisé par Kim Yong-Hoon 1h48 avec Bae Sung-Woo, Jeon Do-yeon, Woo-sung Jung Thriller Depuis le triomphe de Parasite, plus personne n’ignore la vitalité du cinéma sud-coréen. Ici, un réalisateur peu connu mélange les registres avec la même gourmandise que le célèbre Bong Joon-ho, et traque les vils instincts de personnages inextricablement liés par leur cupidité. Au cœur de ce jeu de massacre (au figuré comme au propre) : un sac griffé rempli de billets, classique « MacGuffin » autour duquel gravitent une hôtesse de bar, un employé de sauna, un prêteur sur gages, une femme battue, un fonctionnaire de l’immigration… Autant de citoyens relativement ordinaires que l’appât du gain et, pour la plupart, une bêtise crasse vont transformer en monstres de cruauté. L’intrigue vaut surtout pour sa narration en puzzle qui entretient le mystère sur l’origine et le devenir du magot, mais aussi sur les relations insoupçonnées entre des protagonistes qui n’auraient jamais dû se croiser. Comme l’exige le cahier des charges du thriller sauce kimchi, l’humour et la trivialité viennent atténuer la violence graphique des meurtres. À ceux qui pourraient reprocher au film d’appliquer des recettes éprouvées et de manier une ironie un peu systématique, on opposera le génial personnage de la mère maquerelle en tailleur immaculé interprétée par Jeon Do-yeon (l’héroïne de The Housemaid, d’Im Sang-soo), qui s’impose dans un emploi généralement dominé par la gent masculine.