
2018
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Biographie / Comédie
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1h56
Résumé
Une personne victime d'une agression violente trouve un débouché thérapeutique unique et magnifique pour l'aider dans son processus de guérison.
Bon Divertissement, les effets spéciaux pour les poupées sont pas mal, sans plus…
Je m'attendais à beaucoup mieux, de Robert Zemeckis déjà, mais aussi du casting à commencer par Steve Carell. Ce n'est pas une déception mais je n'ai pas réussi à rentrer dedans. Ce côté film et film d'animation dans un seul tout m'a déstabilisé et ne m'a pas aidé à me sentir concerné. Ca joue bien, c'est bien réalisé et l'histoire est touchante, mais ça n'a pas suffi pour moi.
🎬 Robert Zemeckis réalise une fois de plus, un bijou cinématographique inspiré d'une histoire vraie. Steve Carrel tient là un de ses meilleurs rôles, le mélange acteurs et figurines est une vraie réussite. Après avoir subi une violente agression qui lui coûtera plusieurs traumatismes ainsi qu'une perte de mémoire, un homme décide de s'inventer et de se réfugier dans une ville imaginaire, constituée de poupées, durant la Seconde Guerre mondiale. Les poupées, véritables doublures numériques des acteurs, sont criantes de vérité tout comme l’environnement fictif les entourant. Le tout avec la musique de l'immense Alan Silvestri, également compositeur de Forrest Gump. À découvrir sans hésiter. 🎬 🎬 🎬
Touchant et naïf mais avec une approche différente qui dynamise
Un film touchant, inspiré d’une histoire vraie Steve Carell est bon dans ce rôle
Inspiré de faits réels
Un peu nul 👍 Je pensais que les femmes seraient un peu plus utiles, au final il se bat juste contre un médoc. Le film n’avance a rien puisque il y a très peu de progression (dans les perso notamment) et mark est juste super bizarre
Par ce délicat appel du pied vers une esthétique queer, Bienvenue à Marwen pointe l'ambivalence fondamentale de l'imaginaire, qui peut tout autant se révéler une contrefaçon qu'un refuge pour les désirs singuliers et hors norme.
Vu dans le salon avec cally, j’etais fatigué mais tellement ennuyant que j’ai dormis 1/3 du film.