Chroniques d'Haïfa

Plutôt sympa, ce film fait découvrir l'intrigue petit à petit sous forme de sketches qui dévoilent peu à peu la sensibilité de chaque personnage.

Tnb. Dans le cadre de la semaine palestinienne. Film présenté par Hamid. Acteurs non professionnels… film très bien interprété. Histoire d’une famille palestinienne suivant le point de vue de chaque protagoniste. Très bien !

En suivant les membres d’une famille palestinienne on se rend compte de la cohabitation factice qui existe entre juifs et arabes.Le fils qui fréquente une jeune femme juive est molesté par des individus casqués. Sa sœur travaille dans une école juive or le discours de l’institutrice ne cesse de rendre grâce à Dieu et constitue une sorte de propagande en faveur d’Israel. Les enfants écrivent des lettres pour remercier les soldats qui se battent pour leur nation.Enfin au détour d’une rue ce sont des manifestants qui exhortent les jeunes filles juives à fréquenter des garçons juifs et les garçons arabes à sortir avec des filles arabes. Par touches on prend conscience des cloisonnements qui existent, des mentalités étroites, des préjugés qui empêchent les gens d’être heureux tant du côté des juifs que des arabes puisque la sœur jette l’opprobre sur sa famille pour n ´être plus vierge! Un film passionnant, un appel à la liberté incarnée par Fifi qui, lors de la dernière image continue d’avancer à contre courant alors que tous les gens se figent, une image lourde de sens.

Le drame des religions et de leur intégristes dans toute sa splendeur. Triste réalité remarquablement bien interprétée.

Ok aurait dit une telenovelas Espagnole, ça m'a pas super plu. Le rythme était très lent pour des histoires pas super, même si certaines problématiques sont intéressantes.

Le film tirait en longueur et était difficilement compréhensible. En revanche, il était intéressant de se plonger dans cette société que je ne connaissais pas

Cinéma

Sujet intéressant, la vie d’une famille palestinienne en Israël mais mise en scène qui n’aide pas le spectateur à regarder le film facilement, beaucoup de gros plans, des longueurs, un style plus documentaire que fiction. Par contre les thèmes abordés ne peuvent laisser indifférent, celui du contrôle des corps de la femme, de sa privation de liberté, de la cohabitation tolérée mais contrôlée des arabes Israéliens. Le film est composé de 6 chapitres, le début est un peu long et difficile à comprendre puis on est vite en symbiose avec la jeune Fifi qui souhaite vivre libre et brave les interdits imposés par cette société patriarcale. Interprétée par une jeune femme non professionnelle, comme tous les acteurs, sa présence est lumineuse et émouvante.