Conte de printemps

Éric Rohmer (1990)

Premier Rhomer. Quelques réflexions intéressantes, quelques plans touchants. Mais il faut bien avoir un a priori très positif au spectateur pour ne pas uniquement osciller entre agacement et sarcasme devant des personnages aussi creux et ridicilusement intellectualisés. Bizarrement il me reste une envie et une curiosité à la fin, celles de voir la suite des contes.

Premier volet des Contes des Quatre Saisons qu’Eric Rohmer entame dans les années 1990, Conte de Printemps traite des relations amicales et amoureuses d’un point de vue très philosophique. Ce qui me frappe chez Rohmer est sa capacité à exposer et relater une histoire concise mais dont la complexité se révèle à travers la construction des personnages, des dialogues écrits à la virgule près et une caméra qui rappelle la Nouvelle Vague. On évolue dans la bourgeoisie parisienne des années 1990 et la photographie est remarquable. Dialogues mieux que hiver mais très 😬 encore Natacha pas fou l’acting pareil pour le père Mais en vrai est-ce que ça serait pas du bon acting ils ont l’air vrai J’ai aimé qu’ils laissent les séquences où on dirait qu’il rate leur phrase ou quoi L’ambiance était top j’aurais aimé qu’il dure plus longtemps Très tranquille posé chez mamie J’ai aussi aimé l’analyse des situations dans la situation par exemple quand le père de Natacha et Jeanne analyse pourquoi elle a dit oui pour bisou et pourquoi lui il a fait ça etc J’adore ça Finalement un de mes préférés ambiance super génial