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Dr. Folamour

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7.9/10

1964

Comédie

1h35

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Résumé

Un général insensé ouvre la voie à l'holocauste nucléaire qu'une salle de guerre remplie d'hommes politiques et de généraux tentent désespérément de s'arrêter.

Avis de la communauté

Opinion du public

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250 avis

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7.9/10

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8.4/10

Les avis sur ce film révèlent une admiration pour la satire mordante de Kubrick sur la guerre froide, mêlant humour noir et critique acerbe des décisions politiques et militaires. Peter Sellers est particulièrement salué pour son interprétation magistrale de multiples rôles, ajoutant une dimension comique et critique au film. Malgré son âge, le film est toujours pertinent et apprécié pour son audace et son originalité, bien que certains le trouvent daté et lent.

👍 Performance exceptionnelle de Peter Sellers.

👎 Peut sembler lent et daté.

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Avis et Commentaires

84 avis
J
JJa noté ★ 8/10
7 juillet 2025

Dr Folamour (titre original : Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb), réalisé par Stanley Kubrick en 1964, est une satire mordante de la guerre froide. Le film aborde plusieurs thèmes majeurs, dont voici les principaux : 1. La peur de l’holocauste nucléaire Le film met en scène la possibilité d’une guerre nucléaire totale déclenchée par erreur. Cela reflète l’angoisse omniprésente des années 1950-60 concernant la destruction mutuelle assurée (MAD – Mutual Assured Destruction), concept clé de la dissuasion nucléaire. 2. L’absurdité de la guerre froide Kubrick dénonce l’irrationalité de la logique militaire et politique pendant la guerre froide. Le déclenchement du conflit repose sur la folie d’un seul homme (le général Ripper), montrant combien le monde est vulnérable à l’erreur humaine et aux décisions absurdes. 3. La folie humaine et le pouvoir Le film critique l’autorité militaire et politique, souvent dépeinte comme déconnectée de la réalité ou même dangereusement irrationnelle. Le personnage de Dr Folamour, ancien nazi reconverti en conseiller militaire, incarne la folie technocratique mise au service d'une idéologie destructrice. 4. La critique de la masculinité toxique et de l’ego militaire L’obsession du général Ripper pour la "pureté des fluides corporels" est une parodie de la paranoïa sexuelle et de la virilité exacerbée. Le film lie l’orgueil masculin à la tentation de déclencher la guerre, comme si celle-ci était un moyen de prouver sa puissance. 5. La technologie hors de contrôle Kubrick met en lumière le danger de confier des décisions critiques à des systèmes automatisés ou à des bureaucraties déshumanisées, comme le "dispositif de représailles automatique" soviétique (la machine de l’apocalypse) dont personne ne peut arrêter le fonctionnement une fois enclenché. 6. Le cynisme politique Les dirigeants américains et soviétiques sont présentés comme incompétents, ridicules ou irresponsables. Le film suggère que ceux qui détiennent le pouvoir sont souvent plus intéressés par leur image ou leur survie personnelle que par le sort de l’humanité.

Tl
Thomas le vaillanta noté ★ 5/10
21 mai 2025

Comédie • de Stanley Kubrick • 1964 • 1h35 • Peter Sellers, George C.Scott, Sterling Hayden,Keenan Wynn. Un bombardier américain, chargé de bombes nucléaires, file vers l'URSS. Le major King Kong s'en va accomplir la mission la plus décisive de toute sa carrière. C'est le général Jack Ripper, un extrémiste farouchement persuadé que les Russes empoisonnent l'eau potable des Etats-Unis, qui a pris l'initiative de cette mission que plus rien ne peut arrêter. Prévenu, le président Muffley est obligé de se servir du téléphone rouge pour avertir son alter ego soviétique de la catastrophe. Malgré toutes les consignes et les discussions, un des avions lâche sa bombe. Le docteur Folamour, chef des armements, explique que les rescapés vont devoir vivre sous terre... 💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣💣 Comment arrêter un bombardier américain parti par erreur larguer ses charges nucléaires sur l'URSS ? Le président des Etats-Unis prend les choses en main pour corriger la bourde d'un général belliciste à l'extrême. Il faut se remettre dans le contexte de la guerre froide pour apprécier l'ironie mordante de Kubrick. Si, au début des années 1960, Hollywood produit plusieurs films décrivant les possibles engrenages menant à un conflit nucléaire, Docteur Folamour est le seul à traiter le sujet avec le sourire crispé du condamné en sursis, conscient d'être conduit à la catastrophe par un troupeau d'irresponsables. Le cinéaste ridiculise l'état-major américain de façon admirable. Les compositions de George C. Scott ou de Sterling Hayden sont savoureuses. Mais c’est Peter Sellers qui écrase le film, dans un triple rôle étourdissant : il s'en donne à cœur joie en Dr Folamour, cousin paralytique (ou créature ratée ?) de Wernher von Braun. L'image finale du major King Kong sautant de son B-52 à califourchon sur une bombe atomique coince un peu le rire dans la gorge… TÉLÉRAMA • Par Aurélien FERENCZI • Publié le 20 octobre 2012.

LT
Lisa Tomalaa noté ★ 5/10
1 avril 2025

Stanley Kubrick DOP Gilbert Taylor

Martin Lerichea noté ★ 6/10
29 novembre 2024

Film qui a assez mal vieillit, il est lent et les blagues pas très rôle j’ai eu le temps de m’ennuyer en 1h30. Il reste qlq fois drole et j’ai bien aimé la ou le commandant est sur la bombe quand elle tombe, ou qd le docteur fait des signes nazis lol

Ithan BGa noté ★ 9/10
17 novembre 2024

9.5

Robin Menrasa noté ★ 7/10
13 septembre 2024

C'est le premier film de Kubrick que je vois qui soit autant accès sur l'humour et la satire Le film est sympa, drôle avec un peu de tension, mais pas non plus révolutionnaire... pour aujourd'hui en tout cas Je pense que sortir ce genre de film qui critique l'absurdité de la guerre et de ceux qui la font, tourner au ridicule les forces militaires et politiques américaines (et soviétiques) + des pics sur leur société de consommation... en 1964 ??? En pleine guerre froide, tranquille, c'est sacrément culotté, et le film y arrive bien Après je n'ai pas trouvé le film complètement dingos, mais on passe quand même un bon moment

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