Résumé
Après avoir promis à 1100 employés qu'ils protégeraient leurs emplois, les dirigeants d'une usine décident soudainement de mettre la clé sous la porte. Laurent prend la tête du combat contre cette sentence.
Vu en cours.
2018
un film français coécrit, coproduit et réalisé par Stéphane Brizé, sorti en 2018. Il s'agit du quatrième film de Stéphane Brizé avec Vincent Lindon, après Mademoiselle Chambon, Quelques heures de printemps et La Loi du marché. Distribution Vincent Lindon : Laurent Amédéo, leader syndical Mélanie Rover (Intérimaire) : Mélanie, syndicaliste CGT Jacques Borderie (Conseiller départemental du Lot-et-Garonne) : M. Borderie, directeur d’établissement Perrin Agen David Rey : le directeur administratif et financier Olivier Lemaire : le syndicaliste SIPI Isabelle Rufin : la directrice des ressources humaines Valérie Lamond (Avocate) : Valérie Lamond, avocate des salariés Jean Grosset (Directeur de l'Observatoire du dialogue social de la Fondation Jean-Jaurès) : Jean Grosset, conseiller social de l'Élysée Guillaume Draux (Cadre bancaire) : M. Censier - PDG Perrin France Martin Hauser (Avocat) : Martin Hauser, PDG du groupe allemand Dimke Carole Bluteau : Syndicaliste CFTC 1 Cédric Personeni : Syndicaliste CFTC 2 De nombreux acteurs ont tourné sous leurs vrais noms ou prénoms mais aussi de vrais ouvriers de l'entreprise UPSA devenus acteurs du film comme Letizia Storti. Guillaume Draux avait dejà joué dans la Loi du Marché (M Draux - Le DRH) film de Stéphane Brizé, avec Vincent Lindon Production Le film a été tourné en seulement vingt-trois jours, en octobre et novembre 2017. Stéphane Brizé tenait « à ce que l’énergie du tournage fasse écho à l’énergie du combat que peuvent mener des salariés dans un cas comme celui décrit dans le film ». Comme dans La Loi du marché (2015), Vincent Lindon est le seul acteur professionnel du casting. Son personnage est inspiré du syndicaliste Édouard Martin. Le syndicaliste Xavier Mathieu a participé à l'écriture du scénario.
Film coup de point sur la lutte que mènent les ouvriers d’une usine qui doit fermer …
Un peu caricatural
Ça laisse sans voix