
2023
•
Drame / Romance
•
1h44
Résumé
Une femme de chambre vivant dans l'Angleterre de l'après-guerre prévoit en secret de retrouver l'homme qu'elle aime avant qu'il ne parte épouser une autre femme.
Bien aimé même si très contemplatif. Belle photo et mise en scene, il y a une véritable atmosphère Télérama Après Bang Gang et Les Filles du soleil, la réalisatrice Eva Husson change radicalement de cap, à bon escient, avec cette adaptation en anglais, dentelles comprises, du roman de Graham Swift, Mothering Sunday. Elle déploie un sens sophistiqué de la narration entre plusieurs époques, et une mise en scène voluptueuse, discrètement funèbre, pour suivre les amours d’un fils de famille et d’une petite bonne que le goût des livres, du sexe, mais aussi un deuil soudain vont transformer en écrivaine. Le film révèle la sublime Odessa Young dans le rôle de cette amante qui n’a d’ancillaire que la naissance, ici entourée d’une belle aristocratie de cinéma : Josh O’Connor, si singulièrement séduisant, Olivia Colman et Colin Firth, très émouvant. Un vrai drame romantique, élégamment douloureux. En1924, à Beechwood, en Angleterre. Jane Fairchild est la femme de chambre d'une famille d'aristocrates, les Niven. A l'occasion de la fête des mères, ses patrons lui accordent une journée de repos bien méritée. Orpheline, Jane profite de cette aubaine inattendue pour filer retrouver son amant, Paul. Ce dernier est le fils des voisins des Niven, et il est fiancé à Emma Hobnay. Les Niven, qui ont perdu leur fils lors de la Première Guerre mondiale, se réjouissent du futur mariage de Paul comme si celui-ci était leur propre enfant. Quelques années plus tard, Jane, devenue écrivaine, est mariée à Donald, un philosophe...
Très beaux plans photographie
Home. Film sensuel et délicat. Destin d’une servante puis libraire puis écrivaine…
Fade
Un film dramatique comme j’aime de base mais je n’ai pas tant accroché que ça.
Tres bien joue et tres bien filme Jistoire sombre et l’amour d’une femme de chambre et d’un fils de famille
Recommandé par brigitte lanot-raffray
D’après le Dimanche des mères de G Swift
Dans les années 20 une bonne devient écrivaine...période cadre du film magnifique mais on s ennuie ....