Résumé
Dans un contexte où les tensions entre l’armée française et le FLN sont de plus en plus palpables, Frantz Fanon fait figure de traître. Avec sa femme Josie, ils sont pris dans un tourbillon de violence qui les conduit à prendre fait et cause pour l'indépendance de l'Algérie. Un biopic au cœur de la guerre d'Algérie où se livre un combat au nom de l'Humanité.
Pas trop compris le propos du film. Un peu formel et froid. Telerama Fanon, de Jean-Claude Flamand-Barny, sorti en avril dernier, souffrait d’être un biopic académique sur le précurseur des études postcoloniales. Celui-ci est clairement plus humble et s’en tient au chapitre de son travail en Algérie française, où le Martiniquais a été psychiatre à l’hôpital de Blida-Joinville, de 1953 à 1956. Un thérapeute révolutionnaire, qui modifie en profondeur les méthodes de soin, favorise la socialisation (à travers sorties, foot, chant, musique) et la fraternité avec les « indigènes ». Chronique proche du documentaire, le film est sobre, presque hiératique dans sa fidélité aux faits. Alexandre Desane incarne l’auteur à venir des Damnés de la Terre en visionnaire imperturbable. Le recours à des acteurs non professionnels ajoute une part de vérité troublante à cette fiction fragile, maladroite parfois, mais qui vaut comme introduction singulière à l’œuvre d’un grand homme encore méconnu.
Très bon film sur la guerre d’Algerie vu avec Yasmina
Prenant
Très bien mais trop long. Quelques scènes violentes.
Lent Chiant Mal joué
Un peu long et manichéen …