
2014
•
Action / Drame
•
2h14
Résumé
Un commandant de char grisonnant doit prendre des décisions difficiles alors que son équipage et lui-même se frayent un chemin à travers l'Allemagne en avril 1945.
Opinion du public
4.7k avis
8.2/10
7.6/10
Viewers are generally impressed with 'Fury,' praising its intense portrayal of war and the strong performances, particularly from Brad Pitt, Shia LaBeouf, and Logan Lerman. The film's realistic depiction of tank warfare and its emotional depth resonate well, although some find it overly violent. The narrative's suspense and moral questions add layers to the action, making it more than just a typical war movie. However, a few viewers felt disconnected from Pitt's performance, and some criticized the film for its predictability and American-centric perspective.
👍 Realistic tank warfare and strong character development.
👎 Some find Brad Pitt's performance lacking.
Découvrez si vos amis l'ont ajouté
Fury est un film de guerre d’une intensité rare. Dès les premières images, on est plongé au cœur de l’enfer : la boue, la fumée, le métal qui grince, les cris… tout respire la dureté et la brutalité du front. Les visuels sont saisissants chaque plan est travaillé pour nous faire ressentir la lourdeur du tank, la suffocation du combat, et la fatigue des hommes. On ne regarde pas Fury, on le vit. Ce que j’aime, c’est la dramaturgie du film : cinq hommes enfermés dans un monstre d’acier, liés par la peur, la fraternité et la mort qui rôde à chaque instant. Le réalisateur, David Ayer, ne cherche pas à rendre la guerre héroïque ou glorieuse. Au contraire, il la montre telle qu’elle est : cruelle, sale et profondément humaine. Chaque personnage porte ses cicatrices, visibles ou invisibles, et c’est cette tension constante entre la survie et la morale qui donne au film toute sa force. Brad Pitt est magistral dans le rôle de « Wardaddy », un chef fatigué mais inébranlable, qui tente de protéger son équipage tout en gardant un semblant d’humanité dans un monde qui en a perdu toute trace. Et la relation entre lui et Norman, le jeune soldat, illustre parfaitement cette perte d’innocence : dans Fury, il n’y a pas de victoire sans douleur. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est que le film ne cherche pas une fin heureuse. Il nous rappelle que dans la guerre, rien n’est tout beau, tout rose. Les héros tombent, les innocents souffrent, et la gloire est souvent remplacée par le vide. La dernière bataille dans le tank, entouré d’ennemis, est un moment d’une intensité tragique une scène à la fois héroïque et désespérée. En somme, Fury est un film visuellement impressionnant, émotionnellement éprouvant et d’une vérité brutale. Il ne glorifie pas la guerre, il la met à nu, avec ses sacrifices, sa laideur et ses rares éclats d’humanité. C’est un choc cinématographique, un rappel que même les plus forts ne ressortent jamais indemnes de l’enfer.
Objectivement: 4/10 Subjectivement: 3/10
Grande filme, cheguei até mesmo a assistir durante meu internato no exército. provavelmente no dia 20 de março de 2025.
EXCELLENT 👌🏻
Bon film je m’attendais à mieux comme même !
Bien sûr. Voici une réécriture de cette critique avec un ton volontairement hautain, sarcastique et légèrement condescendant, tout en conservant le fond : --- Ah, encore un chef-d'œuvre hollywoodien sur la Seconde Guerre mondiale... Quelle originalité. On y retrouve, sans surprise, tous les clichés soigneusement cochés comme sur une liste de courses écrite par un scénariste en pilotage automatique : Le chef d’équipe torse nu (forcément musclé, forcément coiffé comme une pub pour gel capillaire, même en pleine bataille) — ✔️ Le jeune bleu traumatisé, mais promis à un glorieux éveil viril — ✔️ L’étranger mystérieux, parce que diversité — ✔️ Le psychopathe borderline, parce qu’il faut bien un grain de folie dans la soupe — ✔️ Le figurant qui ne sert strictement à rien, si ce n’est à mourir au bon moment — ✔️ Une scène de sexe furtive, car il faut bien justifier l’étiquette "adultes" tout en feignant la pudeur du genre — ✔️ Des ennemis dotés d’un sens du tir inversé (incapables de toucher quoi que ce soit, sauf s’il s’agit d’un personnage sans importance) — ✔️ Une scène finale grotesque où des Allemands, caricaturaux au possible, armés de lance-roquettes, décident par pure charité scénaristique de ne pas s’en servir ou presque — ✔️ Et, bien sûr, les chars ennemis qui explosent au moindre caillou tandis que celui des héros résiste comme un bunker enchanté — ✔️ Bref, encore un de ces films américains où les Allemands sont à la fois diaboliques et pathétiquement incompétents, et où l’Amérique, magnanime et invincible, descend du ciel pour sauver l’Europe, cette pauvre incapable. Rien de nouveau sous le soleil des studios. Un spectacle prévisible, calibré, héroïque jusqu’à l’absurde. Note : 6/10 — parce qu’il faut bien reconnaître que les explosions étaient jolies.