Vingt dieux

Rafraîchissant

Une jolie épopée de la terre.

J’ai trouvé Vingt dieux à la fois touchant et revigorant. Le film dégage une authenticité rare : on sent la vérité des lieux, des visages, des gestes. Totone est un personnage maladroit mais profondément humain, et on a envie de le suivre dans sa quête un peu folle de sens et de responsabilité. J’ai particulièrement aimé la façon dont Louise Courvoisier filme la jeunesse rurale sans cliché … ni misérabilisme, ni idéalisation. Il y a de la lumière, de l’humour, de la tendresse. Le rythme est parfois un peu tranquille, mais cette lenteur sert bien le propos : on prend le temps de sentir le Jura, la fatigue, la chaleur des liens. En bref, Vingt dieux est un premier film sincère, vivant et généreux. Un beau portrait d’une jeunesse qui cherche sa place, et d’un monde qu’on gagne à mieux regarder.

Il est de ces films français agréables, beaux, qui me font aimer le cinéma français. Ces films sans prétentions qui passent leurs messages par les dialogues et les regards. J’ai adoré, l’accent est vrm drôle, l’histoire touchante, les acteurs sont vrais, j’ai adoré la musique et les plans sont très beaux.

Très bien, belle histoire qui se passe dans le Jura, Comté

Super film bien joué

Film sympa sur la vie en campagne qui est parfois bien difficile

Claude et moi avons beaucoup aimé ce film original qui donne à voir une jeunesse et une ruralité peu montrées au cinéma. Beaucoup de fraîcheur (ah ce délicieux accent jurassien) et de tendresse dans ce film aux paysages magnifiques. Les acteurs ne sont pas professionnels mais ils sont tous épatants : la réalisatrice, qui vient du documentaire, a su capter leur personnalité et tout sonne juste. On ressort de ce film le sourire aux lèvres (c souvent drôle) et avec la pêche. La BO est également très bien choisie et contribue à ambiancer cette histoire décalée et sensible. En plus on y apprend à faire du comté ! Une belle surprise ❤️

Un bel hommage au travail agricole Cela m’a juste dérangé, la non réalité qu’un jeune de 18 ans doive assumer sa sœur sans expertise préalable