
2020
•
Comédie
•
1h38
Résumé
Alexandre s'embrouille une nouvelle fois avec son père Jacques. A priori, il ne devrait pas, car ce dernier vient de décéder, mais Jacques, ou plutôt son esprit, est bien là, à râler à ses côtés. Et comme Alexandre est le seul à le voir et donc à lui parler, sa mère, sa femme et son frère commencent à s’inquiéter de son étrange comportement.
Le truc, c’est que je n’apprécie ni François Berléand ni Josiane Balasko. Le premier, car il m’est antipathique et qu’il est accroché à son rôle de mec énervé, qui gueule et qui n’a aucune étincelle dans les yeux ; la seconde, car elle n’est pas drôle quand elle essaye de l’être et qu’elle ne joue pas juste à mes yeux. Donc, quand les deux sont associés, ça annonce un grand moment pour moi. Oui, mais il y a aussi Guillaume de Tonquédec et Isabelle Carré, et là, ça change tout. L’histoire n’est pas bien compliquée. Le père meurt et apparaît à son fils, l’écrivain, pour le conseiller ; et l’agacer surtout. Tout le monde se débrouille bien, hormis les deux premiers cités, mais ça n’en fait pas un grand film. Marie-Julie Baup est cantonnée à des gémissements ridicules la première moitié du film, et le frère, son mari, est accroché à son téléphone avec son assistant Kévin. C’est l’écrivain qui fait tout et c’est sur lui que l’histoire est centrée. Un truc que je n’ai pas aimé en particulier, c’est lorsqu’un film devient du cinéma et plus la vie filmée. Je parle notamment du moment où le lit et son occupante sont ramenés sur la plage. Là, c’est du cinéma, et je n’aime pas ça. Ou alors, il faut que tout soit fou. Mais là non, c’est juste un truc improbable, sans aucune utilité. Bref, un petit film sympa, que je ne reverrai certainement pas, mais que j’ai apprécié avoir vu.
Très belles valeurs, aimer la vie, sa famille, profiter !