
2024
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Animation / Aventure
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1h40
Résumé
Les aventures de Leonard de Vinci qui arrive en France à la cour de François Ier après avoir quitté l’Italie. Là, il développe toutes ses inventions célèbres. Il est rejoint par une princesse et part en quête de répondre à la question suivante : Est-ce que tout a un sens ?
Ennuyeux, très historique, on dirait pas un film d'animation pour enfants mais un reportage de l'histoire de Léonard
Stop motion et animation incroyable !! -> regarder qui l'a fait comme ref artistique
Belle animation mais sans plus
Le film suit la vie de l'inventeur et peintre italien Léonard de Vinci, qui quitte l'Italie pour rejoindre la cour de France, où il peut expérimenter librement.
Un film de Jim Capobianco & Pierre-Luc Granjon Léonard, ce bon vieux génie touche-à-tout, aurait sans doute adoré l’idée : être incarné par une marionnette, ingénieuse et barbue, attachante, enthousiaste et rondouillarde, si vivante qu’on en oublie l’envers du décor, la petite machinerie précise du stop motion, cet art minutieux qui l’anime patiemment, image par image. Ce biopic en taille maison de poupée réussit l’exploit d’être aussi humaniste, inventif et ambitieux que son personnage principal. Une grande aventure colorée aux dialogues futés, aux formes et aux textures multiples, qui reconstitue la période la plus célèbre de la vie du maître italien : son séjour à Amboise, auprès de son mécène, le roi François Ier, en 1516, où il restera jusqu’à sa mort, trois ans plus tard. Dans un tourbillon joyeusement érudit, le réalisateur américain Jim Capobianco (un transfuge de Disney et Pixar) s’allie au studio français Foliascope pour exalter l’esprit de la Renaissance, à travers celui qui en fut la plus éclatante incarnation. Insatiable appétit de découvertes Ou comment apprendre, sans s’ennuyer une seconde, que Léonard de Vinci ne fut pas seulement un peintre célébrissime, créateur de La Joconde, mais aussi un scientifique, un biologiste, un ingénieur, un urbaniste, un poète… À son insatiable appétit de découvertes, de connaissance et de beauté, le film offre un écrin fastueux, décors veloutés et ludiques, figurines cocasses (tel ce jeune roi tout agité de gloriole naïve) ou sages — la douce et brillante princesse Marguerite de Navarre, à laquelle la chanteuse Juliette Armanet prête sa voix cristalline. Surtout, comme Léonard, « incarné » par le timbre chaleureux d’André Dussollier, ce film d’animation ne se refuse rien. Qu’il évoque avec humour la passion du vieux savant pour la dissection des cadavres (l’homme était un passionné de médecine et traquait l’âme dans le corps, au grand dam du pape de l’époque) ou qu’il s’échappe le temps de superbes séquences oniriques (comédie musicale comprise), ce délicieux spectacle perpétue avec brio le plus grand idéal de son fameux héros : l’art lumineux et essentiel de la transmission.