
1974
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Action / Comédie
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1h57
Résumé
70' : deux gais voyous et la copine qu'ils partagent s'en payent une tranche. On pique une bagnole, on fait la nique aux trop cons. En chemin on libère une frangine rousse de son dabe en DS, et on lui titille tendrement l'abricot. Non mais sentez-moi ça ! [255]
Obscène époque
1974
J’ai coupé au milieu car la culture du viol m’a trop choqué. C’était une époque certes, mais ça m’a trop gêné
En nous offrant quelques scènes cultes, le film est longtemps resté dans les mémoires. Le revoir aujourd’hui est un exercice étrange tant le rythme y est particulier et le ton totalement dans son époque en jouant sur tous les fantasmes et interdits sexuels. Et au final une sorte d’hymne à la liberté totale en se fouttant des conséquences.
Film glauque, rempli d'agression, relevé par la narration une fois sur deux. Rythme lent à la française, ambiance paumée, vide et presque apocalyptique parfois Vieillot un peu sale. Vu avec Emma à Nantes, j'ai deviné le scène du flingue
🎬 En cette année 1974 Bertrand Blier frappait fort avec les valseuses en réalisant un film provocateur et irrévérencieux qui fit souffler un vent de renouveau et de liberté sur le cinema français. Gerard Depardieu et Patrick Dewaere sont excellent dans le rôle de ses deux voyous totalement marginaux de la société. Sans oubliez la présence de Gerard Jugnot et Thierry Lhermitte dans l'un de leur tout premiers rôles a l'écran. La musique composée par Stéphane Grappelli, quant à elle, contribue également au charme libertaire du film par sa légèreté. Film culte de Bertrand blier. 🎬 🎬 🎬 "On n'est pas bien là ? Paisibles, à la fraîche, décontractés du gland, et on bandera quand on aura envie de bander..."
Recommandé par Jean-Yves
Film qui se déroule en France d'une époque maintenant lointaine ou deux bandits de pacotilles assouvissent toutes leurs pulsions et survivent dans un monde qui n'a pas de sens pour eux.
Film montrant une époque où la femme est considérée comme un objet et c’est admis. Le film ne cherche pas à dénoncer puisque la manière dont l’histoire est tournée renvoie à la validation de la soumission d’une femme. Effectivement, il est mis en scène une femme violée et attouchée a plusieurs reprises, qui fini par éprouver de la sympathie envers ces agresseurs (par exemple, une scène où elle les console et ils pleurent dans ses bras, une autre où elle demande à baiser, et encore une où elle fait comprendre à une autre fille qu’il faut se faire baiser). Je trouve que la dynamique du film ressemble à « Je t’aime moi non plus ». En effet, ce film est constitué de nombreuses scènes de trajets en voiture et de sexe.