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Maldoror

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7.3/10

2024

Thriller / Policier

2h35

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Résumé

Belgique,1995. La disparition inquiétante de deux jeunes filles bouleverse la population et déclenche une frénésie médiatique sans précédent. Paul Chartier, jeune gendarme idéaliste, rejoint l'opération secrète « Maldoror » dédiée à la surveillance d'un suspect récidiviste. Confronté aux dysfonctionnements du système policier, il se lance seul dans une chasse à l’homme qui le fera sombrer dans l’obsession.

Avis de la communauté

Opinion du public

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164 avis

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7.3/10

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6.7/10

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Avis et Commentaires

90 avis
Emilia Martina noté ★ 7/10
28 août 2025

Belgique, 1995. La disparition inquiétante de deux jeunes filles bouleverse la population et déclenche une frénésie médiatique sans précédent. Paul Chartier, jeune gendarme idéaliste, rejoint l'opération secrète Maldoror dédiée à la surveillance d'un suspect récidiviste. Confronté aux dysfonctionnements du système policier, il se lance seul dans une chasse à l'homme qui le fera sombrer dans l'obsession.

Dearx Jeckilla noté ★ 6/10
27 juin 2025

Le rythme et la réalisation est inégal et le jeu d'acteur pas vraiment à la hauteur. En revanche le récit inspiré de l'histoire vrai du meurtrier Marc Dutroux est sympa.

HR
Hugo Renaudina noté ★ 8/10
9 avril 2025

Noté 9/10 par Baptiste Chastenet

J
Josepha noté ★ 7/10
24 février 2025

Scénario : 7/10 Mise en scène : 5/10 Jeu des acteurs : 6/10 Décor et costumes : 5/10 Bande son:

DM
Derek Meuniera noté ★ 8/10
9 février 2025

Super film ! La réal est vraiment sympa. Y'a une patte sans que ce soit clipesque (le générique et la scène d'intrusion sur l'interpellation/arrestation !!). Les personnages sont bien travaillés (au prix parfois de quelques longueurs) et la direction d'acteurs est top ! Sergi Lopez et Berroyer sont ignobles. Bref ça valait le coup !

Dominique MARCELa noté ★ 6/10
4 février 2025

Le Dossier Maldoror”, un thriller d’un réalisme saisissant Il traque un pédocriminel, jusqu’à l’obsession… Un polar haletant, d’une âpreté poisseuse, inspiré de l’affaire Dutroux. C ‘ est un thriller haletant et glauque, aux images comme imprégnées de crasse. Il faut un certain talent au réalisateur pour que cette sensation persistante ne paraisse pas artificielle. Du talent, Fabrice Du Welz (Calvaire, Adoration) en a, mais il avait, jusque-là, tendance à le saboter par trop de complaisance dans la violence et de formalisme. En s’attaquant à une histoire rappelant la sinistre affaire Dutroux, située en Belgique, son pays d’origine, il s’est emparé d’un sujet risqué, mais qui l’a contraint, à bon escient. Eu égard aux victimes de la tragédie, un minimum de retenue s’imposait. Le point de vue adopté est celui de Paul Chartier, jeune gendarme de Charleroi, maltraité dans son enfance, qui s’en est plutôt bien sorti. Consciencieux, il enquête sur la disparition inquiétante de deux jeunes filles. Ayant en ligne de mire un suspect récidiviste, il bute vite sur des dysfonctionnements graves du système policier – bien réels lors de l’affaire Dutroux. Convaincu de la justesse de sa mission, il en vient à agir en chasseur solitaire, s’enfonçant dans une quête obsessionnelle pour piéger le responsable d’un réseau pédocriminel. Le principal suspect, Marcel Dedieu, est un monstre de médiocrité, à la fois grotesque, miteux et effrayant, parfaitement composé par Sergi López. Le film est d’une âpreté poisseuse, d’un réalisme saisissant sur la misère sociale de Charleroi. Mis à part la lumière et la chaleur apportées par la femme de Paul et sa belle-famille sicilienne, l’intrigue reste tortueuse, sur fond gris. Dans ce monde froid et boueux, Paul Chartier lutte en archange révolté et masochiste, contraint de se salir les mains. Confirmant de film en film son talent rare, Anthony Bajon livre une performance impressionnante, dans le combat halluciné de son personnage contre le mal. Ce mal opaque dépasse le seul Marcel Dedieu, semble contagieux, tellurique, venu des profondeurs. Un moment, torturé par l’idée fixe d’une cachette abritant le pire, le gendarme chute dans une fosse où croupit un porc. Outre sa valeur métaphorique, cette séquence est la plus terrifiante du film. Comme à chaque Étrange Festival, je prends un pass avec une sélection de films aléatoire. Je choisis des courts-métrages, des films en compétition, des rétrospectives, des avant-premières. Je varie les plaisirs offerts pas cet événement. En ce dimanche 15 septembre 2024, jour de clôture, voilà ma dernière séance. Je savais juste qu'il s'agissait d'une avant-première, d'un film sur une histoire de disparition d'enfant. Mais je n'ai pas été assez vigilant. Ma nonchalance a failli causer ma perte. J'aurai dû me renseigner davantage sur ce film. Les lumières s'éteignent, la séance commence, un générique survient. Et là, apparait un nom. Un nom qui n'évoque en moi qu'effroi, dégoût et répulsion. Un nom d'un réalisateur que je n'évoquerais pas ici de peur de faire ressurgir une terreur qui me hantera jusqu'à la fin de mes jours. SensCritique>Films>Drame>Le Dossier Maldoror>Critiques>Avis de Cineratu Malodorant Le Dossier Maldoror 6.6 1 Cineratu Critique de Le Dossier Maldoror (2024) écrite par Cineratu le 15 septembre 2024. Comme à chaque Étrange Festival, je prends un pass avec une sélection de films aléatoire. Je choisis des courts-métrages, des films en compétition, des rétrospectives, des avant-premières. Je varie les plaisirs offerts pas cet événement. En ce dimanche 15 septembre 2024, jour de clôture, voilà ma dernière séance. Je savais juste qu'il s'agissait d'une avant-première, d'un film sur une histoire de disparition d'enfant. Mais je n'ai pas été assez vigilant. Ma nonchalance a failli causer ma perte. J'aurai dû me renseigner davantage sur ce film. Les lumières s'éteignent, la séance commence, un générique survient. Et là, apparait un nom. Un nom qui n'évoque en moi qu'effroi, dégoût et répulsion. Un nom d'un réalisateur que je n'évoquerais pas ici de peur de faire ressurgir une terreur qui me hantera jusqu'à la fin de mes jours. Le film démarre et me voilà saisi par l'effroi. Toutes les particules de mon corps se figent à cause de l'épouvantable spectacle qui se déroule devant mes yeux. La laideur et l'ignominie de cette œuvre s'emparent de mon être, le paralysant. Je sens mes facultés cognitives et physiques s'évanouirent et je sombre dans l'abîme du mauvais goût que le réalisateur vomi à l'écran. C'est laid, idiot, vulgaire, ridicule, ignoble. Les acteurs jouent mal, mais que peuvent-ils faire quand on leur donne un texte aussi indigent ? L'incroyable Anthony Bajon de Teddy et Chien de la casse se ridiculise. Béatrice Dalle voit son charisme ruiné en l'espace d'une scène. Il y a des moments de bonheur et d'insouciance qui sonnent tellement faux qu'on se croirait devant un exercice de lycéen option audio-visuel. Les situations sont invraisemblables. Les crises de colère ridicules. Le film parle de kidnapping d'enfant, mais c'est totalement désincarné. Jamais on ne voit un kidnapping, jamais une réaction de parents. Rien. On dit juste qu'il y a des enfants kidnappés et les flics les cherchent... Aucune ambiance ne se fait ressentir, aucune gravité. Les plans sont mornes au possible. Les scènes vides s'enchaînent les unes après les autres. C'est le néant absolu. Un vide qui détruit mon âme à petit feu. Je sombre lentement, sentant mon esprit défaillir. Quelque chose renaît en moi ! Une émotion survient et me ramène à la surface ! C'est la colère. Oui. Une colère qui surgit de cette impression d'être pris pour un immense attardé par le réalisateur qui me crache à la gueule depuis quasi une heure. Il y a une scène de nuit, au domicile des personnages. Le jeune policier est en marcel, épuisé, face à des cassettes qu'il a ramené du travail. Il commence à être rongé par l'obsession, causant une petite anicroche avec sa femme qui se sent délaissée et qui lui annonce ensuite qu'elle est enceinte. Ce cliché des plus immondes films policiers servit tel quel à mes pauvres yeux fait naître en moi une rage pas possible. Comment est-ce possible d'écrire pareille merde en 2024 ? D'oser le sortir à des spectateurs ? Je reprends mes esprits ! L'adrénaline fait repartir mon cœur. Mes muscles se raidissent. Le feu de la haine parcourt mes veines et me pousse à l'action. Je me lève et quitte cet endroit maudit avant que ce funeste spectacle ne finisse de consumer mon âme ! Quelque chose renaît en moi ! Une émotion survient et me ramène à la surface ! C'est la colère. Oui. Une colère qui surgit de cette impression d'être pris pour un immense attardé par le réalisateur qui me crache à la gueule depuis quasi une heure. Il y a une scène de nuit, au domicile des personnages. Le jeune policier est en marcel, épuisé, face à des cassettes qu'il a ramené du travail. Il commence à être rongé par l'obsession, causant une petite anicroche avec sa femme qui se sent délaissée et qui lui annonce ensuite qu'elle est enceinte. Ce cliché des plus immondes films policiers servit tel quel à mes pauvres yeux fait naître en moi une rage pas possible. Comment est-ce possible d'écrire pareille merde en 2024 ? D'oser le sortir à des spectateurs ? Je reprends mes esprits ! L'adrénaline fait repartir mon cœur. Mes muscles se raidissent. Le feu de la haine parcourt mes veines et me pousse à l'action. Je me lève et quitte cet endroit maudit avant que ce funeste spectacle ne finisse de consumer mon âme ! En adaptant très librement l’affaire Dutroux, Fabrice Du Welz signe un polar poisseux qui empile les pire poncifs du genre. Le cinéma peut-il réinventer la figure du policier ? En 2022, Dominik Moll répondait par l’affirmative dans La Nuit du 12. Sous les traits aussi doux qu’inquiétants de Bastien Bouillon, totalement désinvesti d’une charge virile si coutumière, le film refaçonnait la figure de l’autorité judiciaire pour en recracher un parfait anti-héros de notre époque. L’affaire qui hante, cette vérité qui n’adviendra pas, l’extrême banalité des suspects et leur misogynie ordinaire, tous ces maux qui frappaient l’enquête prenaient la forme d’une immense crevasse existentielle. L’absurdité de la condition policière étant cristallisée au cœur d’une image sisyphéenne par excellence : un cycliste pédalant dans un vélodrome, condamné à tourner en rond, pour l’éternité. Entre policier et série B En adaptant très librement l’affaire Dutroux, feuilleton criminel traumatique en Belgique dans les années 1990, on pouvait espérer d’un tel film qu’il fasse résonner cette époque pour mieux éclairer la nôtre, qu’il décortique l’aspect tentaculaire du dossier pour nous raconter – car c’est probablement le cœur du sujet – le dysfonctionnement de l’appareil judiciaire et juridique. Moins préoccupé par les échos que pourrait trouver cette affaire avec le contemporain, la raison d’être du Dossier Maldoror semble avant tout de ressusciter un certain film policier vintage et poisseux tirant vers la série B. Le film reprend ainsi le cadre historique de l’affaire, qu’il recouvre d’une patine digne des polars français des seventies. Déroulée non sans une certaine habilité, cette ambition formelle se débat corps et âme pour rendre hommage à la majesté du genre et agence une sorte de grand patchwork cinéphile qui se ballade entre les films des années 1970 d’Alain Corneau, Le Silence des agneaux, Les Rivières pourpres et True Detective. Les plus grands poncifs du genre En accouchant d’un polar qui se nourrit exclusivement des images produites par le cinéma et aucunement par le réel, Le Dossier Maldoror reste figé dans un autre temps, contrairement à la modernité de La Nuit du 12. Il recule quelques années en arrière en reprenant les plus grands poncifs du genre, sans jamais se questionner plus que ça sur leur pertinence ou leur caractère éculé, voire carrément réactionnaire. Que ce soit via le jeune gendarme obsessionnel Paul Chartier (Anthony Bajon), qui symbolise à lui seul la figure justicière, ou la projection fictionnelle de Dutroux, ogre absolument monstrueux campé par Sergi López, le long métrage se construit exclusivement sur une mythologie caricaturale, sorte de folklore de l’habitus policier filmé mille et une fois auparavant (la folie obsessionnelle devant un tableau en liège plein de fils rouges, les nuits d’insomnie à ingurgiter des cassettes de caméra surveillance). Grande complainte misanthrope Trop machinal pour effleurer la complexité de son sujet, le regard de Du Welz échoue à rendre compte de la trajectoire vengeresse de Chartier ou à raconter comment un tel réseau pédocriminel a pu voir le jour (par ailleurs traité avec beaucoup de confusion, sans soulever les véritables enjeux de pouvoir qui soutiennent l’affaire). De ces fils invisibles, Le Dossier Maldoror ne s’en approchera jamais avec rigueur, préférant à la place tapisser toutes ses scènes d’une grande complainte misanthrope sur l’idée d’un mal absolu qui gangrène le monde. C’est probablement de ce constat que surgit la nostalgie du film pour un certain cinéma où les justiciers armés, ces seuls sauveurs possibles face à l’écroulement moral de l’humanité, étaient encore célébrés. Titre Le Dossier Maldoror Genre Drame Réalisateur Fabrice Du Sortie 2025 Durée 2h35 Musique Vincent Cahay Scénariste Fabrice Du Pays Belgique - France SYNOPSIS Belgique, 1995. Suite à la disparition de deux fillettes, un jeune gendarme se lance dans une chasse à l'homme qui le fait sombrer dans l'obsession. CASTING Anthony Bajon Paul Chartier Alba Gaïa Bellugi Jeannne "Gina" Ferrara Alexis Manenti Luis Catano Sergi López Marcel Dedieu

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