
2013
•
Horreur / Thriller
•
1h29
Résumé
Dans les rues qu'on croyait tranquilles, un tueur en série en quête de scalps se remet en chasse. Frank est le timide propriétaire d'une boutique de mannequins. Sa vie prend un nouveau tournant quand Anna, une jeune artiste, vient lui demander de l'aide pour sa nouvelle exposition. Alors que leurs liens se font plus forts, Frank commence à développer une véritable obsession pour la jeune fille. Au point de donner libre cours à une pulsion trop longtemps réfrénée - celle qui le pousse à traquer pour tuer.
I will never forget Elijah Wood with no penis. How far he has come from LOTR. There was SO much potential in the premise. Idk if it was budget or the fucktard that made this so cheesy. It almost seems like this is a bad pilot for a move that should be bought and sold to AT LEAST Spielberg to produce. I do appreciate the homages?? to mental illness and the creativity in depicting different stages of psychocism. But Jesus this was bad.
Nul, bête... moche
Déjà Elijah. Qui de mieux pour incarner un fou-taré ? Personne. C'est avec perfection qu'il se glisse dans la peau de ce grand malade scalpeur, et on aime ça. Filmé à la première personne, on se sent lui, à notre tour, tueur, scalpeur, et ça rime avec hauts-le-coeur, c'est pas pour rien, car parfois ça nous collerait la nausées que de se sentir à sa place. Superbement réalisé et avec une jolie esthétique, c'est oui pour Maniac !
2012. Avec Elijah Wood, Nora Arnezeder, America Olivo, Megan Duffy,
Rated 8/10 by Anthony Ramos "Le genre de film à la première personne qui se font rares. J’ai adoré le jeu d’acteur ainsi que le scénario simple et efficace. "
Le genre de film en première personne qui se font rares. J’ai adoré le jeu d’acteur ainsi que le scénario simple et efficace. Alors oui, il y a des facilités scénaristiques et des incohérences sur certains plans, mais le film est à prendre comme une expérience unique sous couvert d’une caméra subjective époustouflante. Être dans la peau d’un dérangeant personnage manipulé par ses propres démons est compliqué au niveau de la mise en scène pour percevoir l’émotion brute. Pour le coup, c’est bien amené et Maniac remplit le rôle d’un remake totalement réussi. Un long-métrage fascinant contrasté par la beauté de Los Angeles et les horreurs que l’on peut y retrouver. Un enchaînement de scènes efficaces où l’on navigue entre le présent et le douloureux passé du principal concerné. Un film à voir absolument pour les fans de thriller !