Résumé
Dans le deuxième volet de la série Angélique, notre héroïne rejoint un groupe de brigands, récupère ses enfants, devient une femme d'affaires prospère, et se retrouve encore une fois entraînée dans des histoires politiques et dans des affaires de coeur.
À peu près le même ressenti que le précédent, mais il m’a plus plu, le scénario était légèrement plus prenant. C’est ringard mais divertissant.
Manque Geoffroy de Perrac 🥲
🎬 Deuxième film de la saga, toujours réalisé par Bernard Borderie. Angélique a toujours le visage de Michèle Mercier, on retrouve Jean Rochefort et de nouveaux venus comme Jean-Louis Trintignant dit le poète crotté, Noël Roquevert en maître Bourjus, mais pas de Robert Hossein. Qui reviendra dans "Angèlique et le roy". On assiste à l’ascension sociale d’Angelique, qui doit se battre pour retrouver sa place dans la société. Le metteur en scène y va franco, le parc du château de Versailles étant montré en 1661 comme s'il était dans son état final alors que les travaux ont commencé en 1662. C'est toujours kitch, à voir sans trop chercher le réalisme. 🎬 🎬 🎬