7.4/10
2024
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Historique / Drame
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1h38
Résumé
Paris 1952, Niki s’est installée en France avec son mari et sa fille loin d’une Amérique et d’une famille étouffantes. Mais malgré la distance, Niki se voit régulièrement ébranlée par des réminiscences de son enfance qui envahissent ses pensées. Depuis l’enfer qu’elle va découvrir, Niki trouvera dans l’art une arme pour se libérer.
Opinion du public
335 avis
7.4/10
6.1/10
Les spectateurs sont captivés par la performance intense de Charlotte Le Bon dans 'Niki', qui explore avec émotion et profondeur la vie tumultueuse de l'artiste avant sa renommée. Bien que le film soit salué pour son approche psychologique et sa narration, beaucoup expriment une frustration de ne pas voir les œuvres de Niki de Saint Phalle, ce qui aurait enrichi leur expérience. Le film est perçu comme une fenêtre privilégiée sur le processus créatif et les luttes internes de Niki.
👍 Interprétation magistrale de Charlotte Le Bon.
👎 Absence des œuvres de Niki.
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Cinéma
👍Un bon biopic. À acheter.
🤯💥j’aurais pu regarder encore une heure de film !
Le premier film de Céline Salette est une réussite ! Quel film que ce biopic sur Niki de St Phale n’est pas été plus mis en avant…
Film puissant sur les ravages de l’inceste SPT Non compréhension du corps psychiatrique qui a couvert le père
j’ai un peu tout trop aimé : les plans qui au fur et à mesure nous font comprendre implicitement , nous montre sans nous dire, avant que niki pose, plus âgée des mots sur ce qu’elle a vécu , enft comme le vivrait une victime de vss, qui jeune, ne sait pas ce qui lui arrive puis qui prend conscience en grandissant. on a vrm imagé et matérialisé un sentiment aussi le fait de pas montrer les œuvres, c’est frustrant, mais en mm tps le choix de la réal est légitime, l’idée étant de ne pas se servir de l’art de niki pour son film, il doit sa qualité à son propre esthétique et non à celui d’une autre artiste ausis le film il montre comment était géré les choses à l’époque (en HP, vis à vis des VSS, de la place de la femme, dans l’art et ailleurs, de la reconnaissance de ces femmes). on a aussi le vria portrait de l’artiste, de comment naît le besoin de créer, pose la question un peu lugubre de : si elle avait pas subit ce qu’elle a subit, est ce qu’elle aurait été tant talentueuse, est ce qu’on peut dire que l’art qui habite et qui fascine, est réservé à ce qui en font un échappatoire, un besoin, et donc à ceux qui ont vécus des traumas ou du moins, qui sont troublés ? au delà de ça, et historiquement, on découvre la naissance du mouvement dada « réactionnaire », qui crée l’art en action, et ausis le processus de création de certaines œuvres cultes de l’artiste, bien que ce soit romancé, on a l’impression d’avoir un point de vue privilégié sur ce processus et donc, de bcp mieux comprendre l’œuvre je trouve que l’actrice est trop forte aussi, pourtant elle est pas tant connue, et aussi au delà de tout ça, c’est dingue d’avoir étudié ces œuvres bcp plus jeune, de s’en être inspiré, amusée, pour créer ses propres nanas, puis plus tard d’en comprendre enft tt la symbolique, a partir de ce que nous compte le film : tt les épreuves qu’a vécu niki. Ces femmes qui prennent enfin de la place, qui se libère, qui représente le bonheur sans complexe, au delà des carcans de la société, quand on a appris à niki à se taire, à faire comme si de rien n’étais, à se sentir toute petite. J’adore vrm ce film, ce lien entre fictif, réel, passé du film et présent des œuvres, puisqu’elles seront sûrement intemporelles et marquées dans le tps