Je pensais me lancer dans un drame sombre et froid, de ceux que j’affectionne particulièrement, et Palmer s’est finalement révélé être tout l’inverse : un petit drame doux, plutôt chaleureux, avec une fin clairement tournée vers l’apaisement. Sur le papier, tout pour me déplaire. Et pourtant, contre toute attente, le film fonctionne. Palmer est un film très questionnable sur plusieurs aspects. Son côté ouvertement LGBT-friendly peut parfois donner l’impression d’un produit un peu trop lissé, presque calibré pour séduire une audience large et polir l’image d’Apple. Les archétypes sont bien présents : le bully caricatural, des facilités scénaristiques, et bien sûr un good ending sans réelle ambiguïté. Rien de très subtil dans le traitement des thèmes, qui sont exposés frontalement : acceptation, différence, regard des autres, jugement hâtif. Mais malgré tout ça, quelque chose prend. Les personnages sonnent juste et leurs interactions sont suffisamment sincères pour dépasser les défauts du récit. Justin Timberlake confirme que sa transition vers le cinéma est loin d’être un accident. Il incarne Palmer avec retenue, sans chercher à le rendre artificiellement sympathique, et trouve un équilibre crédible entre rudesse, maladresse et fragilité. La relation avec Sam est clairement le cœur du film, et elle est assez bien construite. D’abord dans le rejet, puis dans la curiosité, avant de glisser vers une forme d’admiration et d’attachement. Palmer reconnaît chez Sam une marginalité qui lui parle, et semble fasciné par son innocence et sa liberté totale d’être lui-même. Le jeune acteur est d’ailleurs très bien dirigé, ce qui rend leur lien d’autant plus touchant. Les seconds rôles tiennent solidement la route : Juno Temple en mère instable et irresponsable, June Squibb en grand-mère aimante mais autoritaire, et Alisha Wainwright en enseignante impliquée, tous apportent une cohérence à l’ensemble. Autre point appréciable : le film évite parfois le piège du pathos systématique. Certaines scènes à fort potentiel émotionnel sont volontairement ellipsées (la mort de Vivian, ou le retour de Palmer au poste de police), un choix discret mais intelligent. Alors oui, Palmer reste un film simple, prévisible, avec un final qui assume pleinement ses larmes et son optimisme. Il ne demande pas beaucoup de réflexion et traite ses thématiques sans finesse particulière. Mais pris pour ce qu’il est, un genre de drame humain sans grandes ambitions, il s’avère plutôt réussi, sincère, et surtout agréable à regarder.
Ouais c un bon film enfaite y’a des bonne scène mais le scénario et facile et on s’ennuie un petit peut mais l’enfant joue très bien
Noté 7/10 par le renard aka le foxito
Très touchant
Le film palmer parle dun homme qui ne crois plus en la vie , il avance sans but précise jusqu’à se quil rencontre le fils de la mere toxicomane qui vie dans la caravane du jardin de sa grand mere er quil cree un lien tres fort avec lui
Un de mes films pref et pourtant pas mon style de base
Un film Apple Tv. Avec un Justin 💚 qui joue bien mais le petit garçon également. Poignant.
Moyennement bon
Tout mignon même si le début est un peu poussif.