8.2/10
1996
•
Policier / Drame
•
2h09
Résumé
Un garçon d'autel est accusé d'avoir assassiné un prêtre et la vérité est enterrée à plusieurs niveaux.
Opinion du public
582 avis
8.2/10
7.7/10
Les spectateurs sont captivés par 'Peur primale', saluant particulièrement la performance époustouflante d'Edward Norton et la maîtrise du suspense par le réalisateur. Le film, riche en rebondissements et en émotions fortes, se distingue par son final inattendu qui laisse les audiences bouche-bée. Toutefois, certains ont ressenti une certaine lenteur dans le développement de l'intrigue, malgré un scénario globalement exaltant.
👍 Performance exceptionnelle d'Edward Norton.
👎 Certaines longueurs peuvent lasser.
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Vraiment pas mal, mais en sois je m’attendais tellement à un plot twist que j’ai deviné la fin 🤓🤓
Bon thriller. Sur un cas de schizophrenie dans un procès de meurtre d’un archevêque pervers
Un jeune qui tue un archevêque qui fait croire qu'il a une double personnalité alors qu'en fait non
« -Bonjour, Martin Vail. Je défends Aaron Stampler. Je dois inspecter la scène du crime. -Le garçon boucher ? -Merci. Oui, j’ai oublié son vrai nom. » Peur primale s’inscrit pleinement dans la tradition américaine du film de prétoire, respectant tous les codes du genre : affrontements verbaux dans la salle d’audience, tension dramatique, et un avocat charismatique au centre de l’intrigue, qui va connaître des hauts et des bas lors du procès. Le film raconte l’histoire d’un ténor du barreau (Richard Gere), persuadé de l’innocence d’un jeune bègue accusé d’un meurtre atroce. Attiré autant par le défi que par l’opportunité de nourrir sa propre image, il décide de plaider gratuitement ce cas en apparence indéfendable. Richard Gere incarne avec brio cet avocat arrogant, sûr de lui et profondément égocentrique, qui connaîtra une profonde désillusion. À ses côtés, Laura Linney, dans le rôle de la procureur — et ancienne compagne du personnage principal — livre une performance solide, donnant au duel judiciaire une véritable intensité. L’histoire d’amour entre les deux est toujours présente au cours du film mais elle n’est jamais forcée et permet même d’apporter de la matière à leur échange au tribunal et en dehors. Pourtant, tous deux se voient éclipsés par Edward Norton, alors quasiment inconnu, qui signe une prestation renversante. Son jeu, tout en subtilité et en maîtrise, est le véritable choc du film et lui a valu une nomination aux Oscars, amplement méritée. Sur le plan visuel, la photographie a quelque peu vieilli, donnant au film une patine « datée » typique des thrillers des années 90. La mise en scène, elle, demeure classique, presque académique, mais efficace. Sur le plan du scénario, le film tient en haleine pendant 2h10 avec quelques rebondissements. Mais c’est surtout le twist final qui apporte une dimension inattendue et qui relance complètement le regard du spectateur. C’est ce qui confère au film une touche d’originalité, transformant ce thriller judiciaire en expérience marquante. Au final, reste une énigme : son titre. C’est peut-être la seule chose que je n’ai pas vraiment comprise.
Très bon films , très bonne actions et très bon plot twist y’en a même deux en sois mais le première je mis attender, seul trcu chaint c que on s’ennnuie beaucoup a des moment , Y’a trop de temps mort où on ce fzit chier sinon super cool
Le procès d'un jeune à la double personnalité. Pas mal