
2024
•
Drame / Thriller
•
1h22
Résumé
Orphelin de naissance, Jean vit toujours avec la peur de revivre son abandon. Espérant pouvoir refaire sa vie, il décide un jour de quitter le milieu du banditisme après avoir volé une grosse somme au parrain de son réseau. Mais les mafieux à ses trousses vont le forcer à affronter la paternité qu'il tente de fuir désespérément.
Histoire basique, sans rebondissement...
Rien d’extraordinaire !
Orphelin de naissance, Jean décide d'abandonner femme et enfant en croyant les protéger de sa double-vie délinquante, mais sa cavale va le ramener à la paternité qu'il fuyait. Porté par des acteurs percutants (Paul Hamy, Françoise Lebrun, Suliane Brahim…), ce premier long-métrage novateur, sombre, prend aux tripes. A découvrir d’urgence. Un thriller noir haletant. Du coup, on y croit, on se laisse embarquer. Ce n’est pas si courant. La réussite du film est d’entretenir sur la durée et à l’abri d’un lyrisme convenu des sentiments vacillants, à peine formés, attisés in extremis par les événements, et de laisser Jean et son couffin sur le seuil d’un amour plus Premier film de Gallien Guibert, Rien ni personne, s’il ne révolutionnera pas le genre de la série noire, prend assez de biais ce dernier pour transcender son origine policière et, ce faisant, pour intriguer. Et parce qu’il ne dépasse pas une heure vingt, Rien ni personne ne s’étale jamais sur son scénario et ne garde que l’essentiel : une histoire efficace qui ne cherche pas être novatrice, une photographie vibrante et des personnages charismatiques. Une réussite instantanée. Si ce premier film, porté par des acteurs remarquables, n'est pas parfait, il a le mérite de tenir son cap dans les bas-fonds et la nuit du Havre. Un premier long métrage prometteur avec moins de fond que de forme certes. Mais quelle forme ! C’est un premier film, donc indulgence. Mais ce polar dans lequel un petit dealer pète les plombs, s’empare du stock de came et s’enfuit avec son bébé dans les bras est victime d’un manque de moyens évident et d’une maladresse désolante. L’énergie noire du film se trouve finalement prisonnière d’une mise en scène qui se contente d’illustrer platement un scénario fonçant vers le prévisible.
Film tourné dans la région St Nazaire, la Turballe, st Sébastien sur Loire, penestin. Ambiance sombre dans le milieu de la drogue. Une étude sur la paternité
Vu avec Coraz au concorde projection puis debat avec l equipe du film film noire un peu glauque finit un peu bizarrement Orphelin de naissance, Jean abandonne femme et enfant en croyant les protéger de sa double-vie délinquante. Mais sa cavale va le ramener à la paternité qu'il fuyait.
Vu au CEP de Vallet Belle réussite pour un premier long métrage. D'une durée de 1h20 il échappe à la catégorie des films à rallonge de presque 3 h , de plus en plus à l'affiche. Les scènes s'enchaînent dans un rythme fou qui contribue à plonger le spectateur dans la course infernale de ce jeune papa imbriqué dans un réseau de drogue. Sa quête de liberté conduit à des drames qui ne l'empêchent pas de poursuivre et en y embarquant son bébé. Bonnes nterprétations. Une bonne soirée.