
1987
•
Action / Science-fiction
•
1h41
Résumé
Los Angeles, 2019 : les USA sont sous la coupe d’une dictature qui a réduit les libertés publiques à néant et qui, grâce à des programmes télévisés bassement démagogiques, parvient à conditionner le comportement populaire. Le jeu‐vedette, suivi avec passion par le pays entier, s’appelle « The Running Man ».
En 2017 les ressources naturelles sont épuisées et le monde vit dans le chaos. Seule un jeu télévisé devenu le plus regardé de l’histoire donne de l’espoir aux gens. Ok j’avais 1 an. Ok j’l’avais jamais vu ?? Okkkkk. Just’après Terminator, Schwarzy enquille direct pour « Running Man ». Et cool hein. Loin de T1 c’est sûr mais pas mal. Un scénario très avant-gardiste comme beaucoup d’autres à l’époque, original, cohérent avec une bonne réflexion sur les médias et leur propagande. Un peu convenu et moins intéressant sur la fin mais qui mérite le coup d’œil
🎬 L'ambiance unique des années 80 avec des décors très old school, des jeux de couleurs très typiques, ainsi que des musiques qui donne vraiment le ton. Réalisé par Paul Michael Glaser, le Starsky de Starsky et Hutch, Running Man est adapté du bouquin éponyme de Stéphane King. Arnold Schwarzenegger doit survivre dans ce jeu médiatisé ou il est la proie face à des tueurs, un jeu jusqu'à la mort. Schwarzy dans sa combinaison moulante, doit se débarrasser des traqueurs au sein d'une immense arène de jeu s'il veut espérer avoir la vie sauve. Le tout sous l’œil des caméras de télévision et de la populace. Excellente musique au synthé de Harold Faltermeyer, qui colle bien à l'ambiance. 🎬 🎬 🎬