7.5/10
2022
•
Horreur / Suspense
•
1h54
Résumé
Vingt-cinq ans après que la paisible ville de Woodsboro a été frappée par une série de meurtres violents, un nouveau tueur revêt le masque de Ghostface et prend pour cible un groupe d’adolescents. Il est déterminé à faire ressurgir les sombres secrets du passé.
Opinion du public
1.2k avis
7.5/10
6.3/10
Les avis sur ce nouveau volet de Scream sont partagés, oscillant entre admiration pour l'innovation et la continuité avec les anciens films, et déception face à certains aspects jugés prévisibles ou peu originaux. Les fans apprécient le retour de personnages emblématiques et les clins d'œil à la franchise, mais certains critiquent le manque de suspense et les motivations des tueurs. Globalement, le film est perçu comme un divertissement correct qui parvient encore à surprendre, malgré quelques faiblesses.
👍 Retour des personnages emblématiques.
👎 Motivations des tueurs peu convaincantes.
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« Je mets à jour ma liste de suspect » Sorti en 2022, Scream V marque un tournant majeur dans la saga horrifique culte : c’est le premier épisode à ne pas être réalisé par Wes Craven, disparu en 2015. Les cinéastes Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett reprennent donc le flambeau pour redonner vie à Ghostface, vingt-cinq ans après les massacres originels de Woodsboro. Si l’exercice était périlleux, entre hommage et modernisation, le film parvient globalement à relever le défi. « Question bonus : ai je eu le temps de rentrer avant que tu réactives le système de sécurité ? » Dès l’ouverture, le spectateur retrouve une scène calquée sur l’introduction culte du premier Scream. Même si l’on sait ce qui va grosso modo se passer, la séquence fonctionne grâce à la tension, aux références et à l’usage malin des technologies modernes. Toutefois, différence marquante : la victime survit, ce qui annonce un opus à la fois respectueux et légèrement subversif. Ce qui fait la grande force de cette ouverture, c’est Jenna Ortega qui démontre qu’elle est la nouvelle reine montante du cri d’horreur, et cela à seulement 19 ans. Jouer dans un film d’horreur est plus difficile qu’il n’y paraît : il ne suffit pas de crier, il faut réussir à transmettre une terreur crédible et contagieuse. Jenna Ortega s’en sort brillamment, donnant une intensité rare à cette scène, et aux suivantes, confirmant son statut d’actrice prometteuse du genre. Le film est nerveux, gore et rythmé, avec un Ghostface plus brutal et impitoyable que jamais. Les mises en scène sont intelligentes favorisant la surprise en déjouant les attentes, ou en créant une tension palpable et suffocante autour de certains meurtres. La scène d'ouverture est implacable, le chapitre de l'hôpital dévastateur, l'attaque contre le shérif et son fils percutante. Il est toutefois regrettable que le chapitre final ne soit pas dans une ligne de conduite similaire, préférant surfer sur quelque chose de plus convenue ce qui apporte une conclusion qui nous laisse sur la faim et nous empêche de sortir pleinement satisfait du film. En effet, ce final aurait mérité bien plus d'impacts, de saveurs et de nouveautés. D’ailleurs, Scream nouvelle génération est bien un Scream 5, quand bien même il ironise régulièrement sur la mode du reboot sélectif à la Halloween, à laquelle il prétend contribuer. La formule ne diffère pas de celle des autres suites : il s’agit de s’emparer d’un modèle très codifié du cinéma américain horrifique du moment et de souligner ses ressorts en les mettant en scène, grâce à une nouvelle bande de personnages, ainsi qu’au casting original. Côté casting, le trio originel reste solide. Sidney Prescott par Neve Campbell tient un rôle secondaire. Elle est désormais figure d’autorité inflexible, agit comme une véritable exécutrice, loin du rôle de victime qu’elle endossait autrefois ce qui colle parfaitement au personnage et à son parcours qui l'a transformée, logiquement. Gale Weathers par Courteney Cox surprend par un ton plus sobre et touchant, toujours attachée à Dewey malgré une relation complexe. David Arquette en tant que shérif Dwight alias Dewey Riley retrouve le tempérament sérieux nuancé par un brin d'incompétence mais d'un courage à toute épreuve qui le caractérisait si bien. Quant aux nouveaux visages, les deux héroïnes ne manquent pas d’intérêt. Sam (Melissa Barrera) intrigue par son lien familial trouble et Tara (Jenna Ortega) captive par son intensité. Cette dernière vole même la vedette à la première que ce soit par la scène d’introduction mais aussi à l’hôpital, sans parler du final. Dans chaque scène où elle apparaît, on peut sentir ce qu’elle transmet. Son personnage a vécu l’enfer durant 2h, mais il s’est relevé plus fort (le final, quel final), il peut sans problème obtenir le statut de « final girl », bien plus que sa sœur. Les autres (toujours un plaisir de retrouver Dylan Minette), s’ils ne marquent pas profondément, remplissent efficacement leur rôle de chair fraîche pour Ghostface. Au final, « Il fallait se fier à Dewey, il l’a dit en premier : ne pas se fier au petit copain »
j'ai jamais aimé les scream mais j'avais quand même été voir celui là au cinéma croyez moi pour la merde que c'est j'ai bien eu mal au cul pour avoir payé la place l'acting est pourrit, le serial killer toujours autant débile, il est même pas un peu crédible allez merci au revoir
J'ai kiffer
J'ai adorée sauf le fait que di ouais meurt
Doway..
On prend la même recette mais avec de nouveaux ingrédients ! Et bien c’est toujours aussi CANON 🥰 un peu plus gore mais c’est pas dérangeant.