7.8/10
2023
•
Action / Aventure
•
2h45
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Opinion du public
19k avis
7.8/10
6.7/10
Les avis sur 'Hunger Games: La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur' sont partagés, oscillant entre admiration pour la profondeur de l'histoire et critiques sur certains aspects de réalisation. Les performances des acteurs, notamment Viola Davis, sont largement saluées, tandis que l'histoire offre un éclairage fascinant sur la jeunesse de Coriolanus Snow. Cependant, certains trouvent le film trop long ou manquant de cohérence avec les précédents opus de la saga.
👍 Exploration captivante de la jeunesse de Snow.
👎 Peut sembler long et incohérent par moments.
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Résumé
Prequel de Hunger Games se déroulant 64 ans plus tôt, dans les années qui ont suivi la période des Jours sombres, la première rébellion ratée à Panem... De nombreuses années avant de devenir Président de Panem, le jeune Coriolanus Snow est choisi comme mentor du district 12 lors des nouveaux Hunger Games.
La fin me laisse sur ma faim ( hahaha )
Trop cool
C’est dommage que l’on ait pas continué sur l’histoire de Katlyn… Cela reste malgré tout un must-see film
moins bien que les autres, j’avais trop d’espoir sur leur relation 🥲 la fin est trop bâclée, on a du mal à comprendre
« Mr. Snow, après tout ce que vous avez vu dans le monde, dites-nous à quoi servent les Hunger Games » L’idée d’un nouveau Hunger Games avait de quoi inquiéter, vu la baisse de qualité de la saga principale. Pourtant, il en résulte un travail rigoureux. Malgré sa longueur, il parvient à maîtriser le rythme de bout en bout, à la différence par exemple du dernier volet divisé en deux parties. Même si le fait que le film indique chacune de ses parties donnent l’impression de voir une trilogie découpée pour que tout rentre dans un. La puissance d’une saga comme Hunger Games, c’est la pertinence et la clairvoyance de sa teneur politique. La bonne idée ici est de faire de Snow le personnage principal, qui subit la misère et l’humiliation qui vont nourrir sa violence, et de permettre au spectateur de s’y identifier pour que chacun puisse voir en soi le risque du glissement vers la haine. Nous suivons ainsi les différentes étapes de sa vie qui vont le propulser vers les marches du pouvoir, mais pas jusqu'à son sommet. Cette absence peut susciter une légère frustration, car c'est au moment où l'homme de pouvoir se dévoile pleinement devant le Capitole qu'il aspire à dominer que l'histoire prend fin. Toutefois, l'exploration des éléments qui amènent Snow à perdre sa bienveillance humaine pour adopter une réalité implacable et durcir son jugement est particulièrement captivante. Ce cheminement élaboré nous offre également une compréhension approfondie de la signification de la célèbre citation emblématique du président: « Ce sont les choses auxquelles on tient le plus qui nous détruisent ». Surtout que le jeune Coriolanus Snow, est interprété par le charismatique et talentueux Tom Blyth, et qui y gagne encore plus lors de la troisième partie. Le seul véritable défaut de ce film réside dans le personnage de Rachel Zagler. Son personnage ne sert que de support à l’évolution de Snow. De plus, ses nombreux passages chantés qui arrivent comme un cheveu sur la soupe plongent trop de séquences dans des affres de niaiserie gênante -la présentation du personnage sur l’estrade des tributs est particulièrement ratée tant elle est mal amenée- De ce fait, on obtient un personnage très difficile à rendre convaincant, qui que soit son interprète. Un autre point négatif mais plus mineur réside dans son introduction. Il nous est offert un aperçu du Capitole pendant les fameux « Jours sombres », à l'origine de la création des Hunger Games. Cependant, cette introduction est trop succincte. La guerre entre les Districts et le Capitole, à l'origine de la création des Hunger Games par le père de Snow, est à peine effleurée -peut-être un sujet pour un autre spin-off-. Sinon, la direction artistique est à la hauteur de la saga originale, avec un Panem “vintage” inspiré de nos propres années 60 et 70 et des Hunger Games encore peu sophistiqués. Il faut aussi dire que le film est visuellement réussi, avec une mise en scène solide et élégante. Mention spéciale à la séquence d’attentat dans l’arène et à son plan à 360° qui aligne les explosions. Un pari casse-gueule qui réussit finalement à en mettre plein la figure. De plus, cette version se distingue nettement du format initial. Le fait que les jeux soient dans une forme archaïque par rapport à la saga principale apporte de la nouveauté. Que ce soit lors de la phase de préparation ou pendant les jeux eux même. Par exemple, la possibilité d’envoyer des drones en temps réel donne aussi une nouvelle dynamique aux jeux. Au final, comme l’a dit Agrippine à propos de Néron : Toujours la tyrannie a d'heureuses prémices
Trop de serpent