Marche ou crève

UGC ciné cité Bercy Avec Roland

Quel navet un film à dormir debout qui défie tout réalisme et rempli de grandes leçons de morales à l’américaine … les zzzzzhommes 🥱

J ai trouvé le début un peu long et pas tellement naturel, j ai trouvé que les présentations étaient forcé afin de les expédier. Ça m a pas mal dérangé. C est dès la première mort, et l apparition du titre du film que j ai commencé à apprécié celui ci. Chaque mort est violente et touchante, elle nous montre la cruauté de ce jeu absurde avec une violence exacerbée. Ce film dénonce la cruauté humaine, avec tous ces spectateurs assoiffé de sang, ça rappelle les arènes de gladiateurs. Donné un spectacles afin qu’il y ai de meilleurs résultats plus tard. J ai trouvé la fin quand même super prévisible, tout le monde s attendait à ce duo final, c est dommage. La fin laisse en suspens, ok il a tué un general, mais ça vas rien changer en soit ? Si ?

Il se passe rien

Je n'ai pas lu le livre, mais j'étais curieuse de voir son adaptation. Au final, je suis un peu déçue, je me suis assez ennuyée et j'ai trouvé le tout plutôt prévisible. C'était tout de même bien joué, mais il y a tellement de choses pas crédibles... Qui va faire une marche de plusieurs centaines de kilomètres en Converses ? Pour un battle royal censé être déchirant, je n'ai pas été aussi touchée que je prévu...

. La société qui exploite la souffrance : la Marche est un spectacle. Des foules se rassemblent pour encourager, applaudir, comme si la souffrance et la mort étaient du divertissement. C’est une critique des sociétés qui consomment la violence comme un show. • La pression de la compétition : les marcheurs ne savent même pas pourquoi ils participent vraiment. Ça reflète une jeunesse enfermée dans des systèmes absurdes (compétition scolaire, militaire, sociale…) où l’on avance sans jamais savoir si la récompense vaut le prix payé. • La condition humaine face à la mort : marcher sans fin, c’est une métaphore de la vie elle-même. On avance, on fatigue, on voit les autres tomber, et au bout, il n’y a qu’un seul survivant. C’est dur, mais ça force à réfléchir sur ce qu’on fait de notre chemin de vie. • La critique du pouvoir : les règles de la Marche sont inhumaines, mais acceptées par tous. Ça dénonce la docilité des foules face à l’autorité, même quand elle impose l’injustice. 👉 En gros, le message c’est : quand une société transforme la vie en compétition impitoyable et la mort en spectacle, elle perd son humanité.