
2025
•
Drame / Historique
•
2h18
Résumé
Six histoires interconnectées qui explorent la Roumanie alors que la révolution de 1989 commence à poindre.
Cinéma
Un film choral bien mené autour de la Révolution roumaine. Le mélange de drame et d'éléments de comédie grinçante, plutôt bien dosé, contribue à la réussite de l'ensemble. Un récit vengeur du quotidien d'un régime communiste comme une cocotte-minute sur le point d'exploser. À la fois terrifiant et vivifiant.
Excellent! 6 personnages j-1 avant la revolution a bucarest le 21 dec 1989. Vu avec Mihaela
Vue avec Juliette au 7 Parnassiens
Différents personnages qui évoluent dans la Roumanie de Ceacescu
intéressant mais un peu long …
À la veille de l’effondrement du régime communiste, le 20 décembre 1989, plusieurs récits à l’humour noir ravageur sont conduits en parallèle pour témoigner de la solitude de l’individu sous la dictature de Nicolae Ceaucescu.
Au moment de la chute de Ceaucescu, en décembre 1989. × Navigation principale Ce nouvel an qui n'est jamais arrivé  Première (1 critique) Film Séances News Bandes-annonces Photos Casting Critiques DVD / VOD 30 avril 2025138 mnAdrian Vancica , Emilia DobrinMemento Distribution2024RoumanieComédie dramatiqueCouleur Synopsis 20 décembre 1989. La Roumanie est au bord de la révolution. Les autorités préparent les festivités du Nouvel An comme si de rien n’était ou presque mais le vernis officiel commence à craquer. Dans l’effervescence de la contestation, six destins vont se croiser au fil d’une journée pas comme les autres. Jusqu’à la chute de Ceaușescu et de son régime. Critiques de Ce nouvel an qui n'est jamais arrivé Première par Thierry Chèze Ce premier long met un peu de temps à démarrer. Logique puisque ce n’est pas une mais six histoires qu’il s’agit de mettre en place et qui vont par la suite s’entremêler pour raconter 24 heures à part dans l’histoire de la Roumanie. Celles qui conduiront à ce 21 décembre 1989, quand Ceaușescu est hué pour la toute première fois en public, dans un meeting retransmis à la télé, précipitant la chute de sa dictature. On va y croiser une actrice convoquée à contrecoeur pour un hommage télévisé aux époux Ceaucescu qui va tout entreprendre pour se faire porter pâle. Un jeune homme qui s’apprête à fuir à l’Ouest avec des amis au volant d’une voiture proche de l’épave. Une vieille dame dont l’appartement va être détruit et son fils. Et puis un père qui découvre avec effroi la lettre que son fils a envoyé au Père Noël, demandant comme cadeau pour lui « que l’oncle Nick meure », comme il l’a entendu si souvent répéter. Une histoire que le réalisateur avait déjà développée dans son court The Christmas gift, multi- primé en 2018. Le tout forme un kaléidoscope ciselé avec soin mû par cette idée- force de gens ordinaires plongés dans une situation extraordinaire sans se douter du happy end qui les attend. C’est fin, dominé par un sens de l’absurde imparable et accompagné par une réalisation au format 4 :3 traduisant l’enfermement de ces personnages avant de s’élargir au 16 :9 comme une métaphore de la liberté, dans une ultime ligne droite de 20 minutes au rythme du Boléro de Ravel où images d’archives et fiction ne font plus qu’un. Un vrai feu d’artifice final ! × Navigation principale Ce nouvel an qui n'est jamais arrivé  Première (1 critique) Film Séances News Bandes-annonces Photos Casting Critiques DVD / VOD 30 avril 2025138 mnAdrian Vancica , Emilia DobrinMemento Distribution2024RoumanieComédie dramatiqueCouleur Synopsis 20 décembre 1989. La Roumanie est au bord de la révolution. Les autorités préparent les festivités du Nouvel An comme si de rien n’était ou presque mais le vernis officiel commence à craquer. Dans l’effervescence de la contestation, six destins vont se croiser au fil d’une journée pas comme les autres. Jusqu’à la chute de Ceaușescu et de son régime. Critiques de Ce nouvel an qui n'est jamais arrivé Première par Thierry Chèze Ce premier long met un peu de temps à démarrer. Logique puisque ce n’est pas une mais six histoires qu’il s’agit de mettre en place et qui vont par la suite s’entremêler pour raconter 24 heures à part dans l’histoire de la Roumanie. Celles qui conduiront à ce 21 décembre 1989, quand Ceaușescu est hué pour la toute première fois en public, dans un meeting retransmis à la télé, précipitant la chute de sa dictature. On va y croiser une actrice convoquée à contrecoeur pour un hommage télévisé aux époux Ceaucescu qui va tout entreprendre pour se faire porter pâle. Un jeune homme qui s’apprête à fuir à l’Ouest avec des amis au volant d’une voiture proche de l’épave. Une vieille dame dont l’appartement va être détruit et son fils. Et puis un père qui découvre avec effroi la lettre que son fils a envoyé au Père Noël, demandant comme cadeau pour lui « que l’oncle Nick meure », comme il l’a entendu si souvent répéter. Une histoire que le réalisateur avait déjà développée dans son court The Christmas gift, multi- primé en 2018. Le tout forme un kaléidoscope ciselé avec soin mû par cette idée- force de gens ordinaires plongés dans une situation extraordinaire sans se douter du happy end qui les attend. C’est fin, dominé par un sens de l’absurde imparable et accompagné par une réalisation au format 4 :3 traduisant l’enfermement de ces personnages avant de s’élargir au 16 :9 comme une métaphore de la liberté, dans une ultime ligne droite de 20 minutes au rythme du Boléro de Ravel où images d’archives et fiction ne font plus qu’un. Un vrai feu d’artifice final !
Comédie savoureuse...un peu long tout de même