
2024
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Drame / Romance
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1h54
Résumé
Rani, une prostituée indienne annonce à sa famille qu’elle part en pèlerinage dans un temple lointain. Le voyage va constituer pour elle une occasion de réfléchir sur son passé tumultueux, notamment son histoire d’amour de jeunesse avec une autre fille, Renuka, à présent incarcérée à perpétuité pour meurtre à Bangalore, une ville qui se trouve justement sur le chemin de Rani.
Sujet délicat, difficile mais bien traité.
Un film très dur sur les prostitués en Inde Nadira tue un mec de la police de Delhi puis s’enfuie à Devadasi dans une communauté de prostitue ou elle se fait appeler Renuka Elle rencontre la jeune devika La mère la soeur et la gd mere sont des prostitués sa soeur par à dehli pour faire ce travaille gagner mieux Elle a peur, se bande les seins car sa mère veut vendre sa premiere nuit ce qu’elle refuse Renu et Devi se rencontrent c’est un peu chelou parce que renu a 2x son age, est une prositute se drogue et est alcoolique Elle fait tout de suite du rentre dedans à devi qui est gêné Elle vont finalement avoir une histoire d’amour mais un peu chelou pq renu entraine devi dans la drogue l’alcool la cigarette mais d’un autre cote elle veut sont bien Renu part de faire avorter mais à son retour elle a une infection et ne peut rien payer car les personnes de la maison close lui ont volé son argent Déni va donc vendre des vieux bijoux poir lui payer les soins (et sa drogue qu’elle va chercher…) Elles s’enfuient ensuite pas du ànun incendie elle se fait arrêter à dehli et sa sœur doit la recuperer et payer la cotion… Elle l’a ramene au village ou sa mère la vend à un connard de politique qui avaient mit enceinte renu Il la blesse, beaucoup… c’est un massacre et assez choquant Renu revient la chercher lui promet de partir ensemble après une dernière chose Elle va poignarder le connard de politicien mais se fait rattraper et battre à mort, la aussi moment choquant ! Dernière scène où devi porte les vêtements de renu et part à côté d’un chemin de fer
Au plus près des actrices les plans rapprochés disent les peurs, colères, angoisses, c'est un parti pris, comme celui d'une bande sonore épousant les temps forts de l'histoire. La fuite d'une prostituée musulmane et lesbienne en Inde l'amène dans une communauté où la virginité est offerte à une divinité, ce qui permet à la famille de gagner de l'argent. Ce film très efficace d'un réalisateur bulgare, avec des créateurs bulgares et dans une co production mondiale, où l'on retrouve même des taïwanais est censément documentée par Bojanov, qui aurait personnellement étudié les traditions devadasi du nord de l'Inde. Il a réalisé un documentaire sur ce thème. Lui estime que "la narration peut transcender les frontières culturelles"... Je pense inévitablement à Émilia Perez, de Jacques Audiard (2024): un exotisme documenté dans lequel le réalisateur européen porte un regard sur la société qu'il filme, avec des personnages qu'il crée pour satisfaire sa propre vision du monde. Le personnage de la prostituée musulmane alcoolique serait il crédible en Inde ? Mais la narration le rend acceptable pour le public européen. Il y a dans ces œuvres (ce sont des oeuvres) une forme d'escroquerie, qui a pu être géniale, voir Casablanca, de Michael Curtiz (1942), mais qui, à l'heure de la mondialisation, me dérange. Préférons les films de réalisateurs locaux et voyons plutôt comment ils traitent eux de ces problématiques...
Tres dur et glauque
Super beau film mais d’une violence.. et tous les stéréotypes de la lesbienne + âgée et persécutrice accro à la drogue… boring
Vu a Cannes sélection Un certain regard : Scénario intéressant actrice principale charismatique mais des problèmes de narration qui font perdre en propos et en intensité