Opinion du public
378 avis
7.3/10
Les avis sur la série révèlent une appréciation générale pour la performance de Benedict Cumberbatch et l'originalité du scénario, malgré quelques réserves sur la longueur et le développement de certains épisodes. Les thèmes de l'alcoolisme, la disparition d'un enfant et les démons intérieurs sont poignants et bien traités, mais certains spectateurs trouvent que la série prend des libertés qui peuvent déranger ou paraître incohérentes.
👍 Performance exceptionnelle de Cumberbatch.
👎 Certains thèmes peuvent déranger.
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Père alcoolique marionnettiste d une émission célèbre mais qui se dispute sans cesse avec sa femme. Leur fils Edgar en souffre, un matin il part à l école seul et n en revient pas. Fugue ou disparition. Le père part à sa recherche...
It was.. something
Série britannique sur Netflix avec Michael Crumberbach. Dans les années 80 à New York, Edgar Anderson, petit garçon de neuf ans fils du marionnettiste alcoolique, Vince, Anderson et de Cassie Anderson, disparaît et l’enquête permet de mettre à jour un réseau de pédophilie et la corruption de la police
Mini-Série de 6 épisodes
Le plot twist était trop facile à découvrir, les indices pour qu’on découvre la suite par nous même était beaucoup trop gros, j’aurais aimé qu’ils soient plus petit pour pas qu’on devine si facilement Ça aurait pu se faire LARGEMENT en 4 épisodes à la place de 6, pas mal de longueur dans certains épisode c’est dommage MAIS Le jeux de Cumberbatch est incroyable, y’a des moments qui m’ont donné des frissons 🤌🏻 + la marionnette fonctionne de ouf + la fable qui est raconté est TELLEMENT importante et la colorimétrie est vraiment bien faite
Benedict Cumberbatch est époustouflant Vincent et Cassie, un couple au bord de la rupture, est soudain confronté à la disparition de leur fils Edgar, 9 ans, volatilisé sur le chemin de l’école. L’enquête, confiée à l’inspecteur Michael Ledroit, un policier noir secrètement homosexuel, nous emmène dans le New York crasseux, bouillonnant et dangereux des années 1980, lorsque la misère « dormait » dans les tunnels du métro