
2013
•
Sam Raimi
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Résumé
L'histoire des plus grands gladiateurs de l'histoire se déroule sous le signe de la violence et des passions des femmes qui les aiment.
Opinion du public
387 avis
8.3/10
8.5/10
Les avis sur 'Spartacus' célèbrent une série vibrante et captivante, marquée par des scènes de combat époustouflantes et une narration dynamique. Les spectateurs apprécient particulièrement le mélange audacieux de drame historique, d'action intense et de représentations diversifiées. Malgré la perte de l'acteur principal après la première saison, la série continue de captiver, grâce à des personnages charismatiques et des intrigues riches en émotions et en rebondissements.
👍 Représentation diversifiée et scènes de combat époustouflantes.
👎 Effets numériques et style visuel clivant.
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les 3 premières saison la dernière ils ont changé de perso principal :(
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Six mois après la victoire de Spartacus contre Gaïus Claudius Glaber, 30 000 hommes ont rejoint la rébellion. Rome craint de plus en plus la menace que représente Spartacus, apparemment invincible. Entouré de ses lieutenants, Crixus, Gannicus et Agron, l’ancien gladiateur va désormais devoir affronter deux nouveaux adversaires de taille en provenance de Rome : le richissime Marcus Crassus au pouvoir sans limite et un certain Jules César.
La meilleur série avec smallville🥰😇
Great action
C’était iconique ! Ascension, rébellion, violence, jeux de pouvoir, trahison… and some gay representation 🌈 c’est rare dans ce genre de série surtout qu’elle date du début des années 2010, mais c’est toujours bienvenu ! Bref une grande série d’action historique comme je les aime, même si elle ne peut rivaliser avec mes séries préférées.
Spartacus : Le Sang des gladiateurs (Spartacus: Blood and Sand) est le nom de la première saison de la série télévisée américaine Spartacus créée par Steven S. DeKnight sur la vie du gladiateur Spartacus et diffusée entre le 22 janvier 2010 et le 16 avril 2010 sur Starz. Robert Tapert et Sam Raimi en sont les producteurs délégués. Spartacus : Le Sang des gladiateurs Titre original : Spartacus: Blood and Sand Créateur : Steven S. DeKnight Réalisation : Grady Hall, Michael Hurst, Rick Jacobson, Chris Martin-Jones, Glenn Standring, Jesse Warn, Rowan Woods Scénario : Tracy Bellomo, Andrew Chambliss, Steven S. DeKnight, Dan Filie, Brent Fletcher, Aaron Helbing, Todd Helbing, Daniel Knauf, Miranda Kwok, Patricia Wells Musique : Joseph LoDuca. Production[24] : Steven S. DeKnight, Joshua Donen, Paul Grinder, Grady Hall, Daniel Knauf, Charles Knight, Aaron Lam, Keith MacKenzie, Sam Raimi, Chloe Smith et Robert Tapert Sociétés de production : Starz Media, Starz Production Sociétés de distribution : Starz!, Anchor Bay Entertainment Durée : 60 minutes Classification : France : interdit aux moins de 16 ans Spartacus, héros de la troisième guerre servile (soulèvement d'esclaves contre la République romaine) entre 73 et 71 avant notre ère, a déjà été célébré à Hollywood, avec "le fils du cordonnier", Kirk Douglas himself, qui en endossera et les chaînes pour Stanley Kubrick en 1960 et ses quatre Oscars, mais l'imagerie familial des gentils péplums de Papa (voire Grand'Pa) est devenue désuète au XXIème siècle, et surtout après l'explosion graphique en 2006 qu'a été l'adaptation cinématographique du roman graphique "300" de Frank Miller par le surdoué Zack Snyder. Inspiré par ce bruyant film multi-récompensé (dont le prix de meilleur film aux Saturn Awards, récompenses décernées par l'Académie des films de science-fiction, fantasy et horreur), Steven S. DeKnight, scénariste venu de la télévision adolescente ("Buffy contre les vampires", "Angel" et "Smallville"), décide de passer à un show TV (bien) plus adulte, et propose à la chaine payante Starz une série sur la vie du gladiateur Spartacus, une série historique d'action qui sera très vite déconseillée aux moins de 17 ou 16 ans (selon le pays de diffusion) à cause de la violence visuelle, de scènes de sexe explicites et son langage cru ! Oubliez les duels en jupettes romaines du film de 1960 et même du blockbuster de Ridley Scott, "Gladiator", qui a ressuscité le genre (le péplum) en 2000, ici, ces champions de la troisième ligue (aussi charismatiques soient les gladiateurs du ludus (gladiatorius) de Batiatus, ce ne sont que les Combattants de Capoue, cité italienne du Sud, et non ceux de la capitale de l'Empire Romain) aux corps musclés et huilés sur lesquels brillent le soleil et coulent des litres de sang (numérique) passent leur temps à moitié nus, quand ils ne le sont pas pour le bon plaisir de leurs maîtres et invité(e)s, ou ne s'insultent pas ou se défient ouvertement -pour rabaisser ce guerrier Thrace (région historique de la péninsule balkanique englobant les actuels Bulgarie , Grèce etTurquie) réduit en esclavage ou car celui-ci cherche à prendre la place du gladiateur local numéro un : Crixus, le Gaulois. Protégé par le script plot, ce pleurnichard personnage principal, ce Thrace inconnu que Batiatus appellera Spartacus (tel le féroce roi du Bosphore Cimmérien), n'en reste pas moins charismatiquement attractif et incarné, au milieu de ces fonds verts, matte paintings numériques et étalonnages sur-éclairés, par le regretté Andy Whitfield... mais pourrait très bien se retrouver noyé et perdu dans un casting