Summary
Le pitch ? Quel pitch ? Il est impossible d’en dévoiler un. Le quatrième roman de Michel Houellebecq, par son ampleur, ses ambitions, sa façon bien à lui de déjouer tout pronostic, échappe à cette pratique paresseuse de la critique moderne. Alors qu’en dire ? Dire que les éditeurs étrangers les plus importants (US, Grande-Bretagne, Allemagne, Italie, Espagne, Suède, Japon...), l’ont lu sur manuscrit et aussitôt acheté. Dire aussi qu’ils n’ont pas été avares de compliments. L’un louant son humour décalé, l’autre célébrant son lyrisme, le troisième avouant à quel point il avait d’abord ri, puis frémi devant cette fresque admirablement construite, où tout est à sa place, sans effort apparent, comme soulevé par une intelligence qui lance un défi à la raison, un avertissement salutaire. En un mot, soufflé par l’auteur lui-même : « Je crois que c’est mon meilleur livre. » Prix Interallié 2005
Drôle et amer, Houellebecq dans toute sa splendeur. Sujet qui fait réfléchir au monde d’aujourd’hui
Houellebecq écrit vraiment très bien mais cette descente chez les Elohims est compliquée !