Summary
Le nouveau roman de Raphaëlle Giordano. Henriette n'a pas que son prénom de décalé. Elle a aussi un look original bien à elle et un vrai talent créatif d'architecte d'intérieur, qu'elle ne mesure pas vraiment, trop souvent occupée à douter d'elle-même. Car derrière la façade de jeune professionnelle douée, elle cache une peur inavouable... Anxieuse de nature, hypersensible et facilement fatigable, Henriette a ce qu'elle appelle un syndrome de trophobie : quand on la force à dépasser ses limites et que, rapidement, cela fait " trop " pour elle, elle est submergée d'angoisses mais n'ose pas l'avouer. De stratégie d'évitement en stratégie de camouflage, elle donne le change la plupart du temps, en se sur-adaptant aux autres – mais à quel prix ! Jusqu'au jour où un projet l'oblige à collaborer avec un bureau d'étude dirigé par un architecte paysagiste ambitieux, charismatique... et à première vue imbuvable. Alors qu'elle intègre cette nouvelle équipe, le petit théâtre des ombres se met en place. Au travail, en famille, ou en couple, beaucoup préfèrent avancer masqués pour ne pas révéler un intime perclus de fragilités. Pourtant, tout le monde a peur... mais pas au même endroit ! Henriette découvrira-t-elle, comme quelques heureux avant elle, que lorsque la lumière jaillit derrière les failles, c'est toujours pour éclairer ce que chacun porte en lui de plus beau ?
Sympa mais un peu trop de peurs éprouvées par tous les personnages!... pas un grand livre, bon moment mais il le faut tout
Henriette, une jeune architecte d’intérieur hypersensible et anxieuse, souffre de « trophobie » : une peur paralysante de la nouveauté et du changement. Sa vie est très contrôlée, structurée, et elle évite toute prise de risque. Mais tout bascule lorsqu’elle est envoyée sur un projet en extérieur, dans un domaine luxueux, où elle doit collaborer avec Auguste, un architecte paysagiste au caractère bien trempé… et à ses propres failles. Peu à peu, au contact d’Auguste et d’une petite équipe de personnages eux aussi « fêlés » (par des peurs parfois absurdes, souvent touchantes), Henriette va entamer un voyage intérieur. Elle va apprendre à apprivoiser ses angoisses, à affronter l’inconnu, à s’ouvrir aux autres — et à elle-même. Le roman montre que ce sont souvent nos fragilités, nos fêlures intimes, qui nous rendent humains, lumineux, et capables de créer du lien. En acceptant leurs peurs, les personnages se transforment, gagnent en liberté intérieure… et en joie.
pas mal écrit mais un peu trop développement personnel masqué par l’histoire.
Cucu la praline et bcp trop explicite. Dommage ce manque de subtilité pour un sujet qui mérite plus de délicatesse, l’hypersensibilité et les peurs inavouées
Un très bon moment passé avec ce livre...
Mars 2025