Après avoir survécu aux Winchester (tome 1), Millie tente de se reconstruire et accepte un nouveau poste de femme de ménage auprès de Douglas Garrick, un riche homme d’affaires de Manhattan, et de sa femme Wendy.
Dès son arrivée, elle remarque :
Douglas est charmant mais impose des règles strictes.
Wendy reste enfermée dans une chambre, la porte toujours close.
Les indices (bleus, peur, isolement) poussent Millie à croire que Wendy est victime de violences conjugales.
Convaincue qu’elle doit agir, Millie s’engage à sauver Wendy, même si cela signifie prendre des risques énormes et remettre en jeu sa fragile
Comme dans le premier tome, l’auteure renverse totalement la perception du lecteur :
Wendy n’est pas une simple victime, mais une manipulatrice qui profite de la compassion de Millie.
Douglas, loin d’être l’ogre qu’elle imaginait, cache aussi des secrets, mais il n’est pas le monstre violent que Millie croyait.
Millie réalise qu’elle a été piégée dans une toile de mensonges et qu’elle n’est peut-être qu’un pion dans une histoire beaucoup plus
Millie finit par comprendre que Wendy a menti et manipulé toute la situation.
Tout ce qu’elle croyait savoir sur Douglas, sur leur mariage et sur la supposée « séquestration », n’était qu’une façade destinée à l’embarquer dans un plan dangereux.
En cherchant à protéger Wendy, Millie met sa propre vie en péril, mais grâce à sa ruse et à son sang-froid (hérités de son passé carcéral et du tome 1), elle réussit à renverser la situation.
Douglas et Wendy sont mis hors d’état de nuire.
Millie sort victorieuse, mais profondément changée : elle comprend qu’elle attire les drames et que son rôle de « sauveuse » l’amène à franchir sans cesse des limites morales.
La fin se conclut avec Millie qui repart libre, mais plus déterminée et plus sombre que jamais — une transition directe vers le tome 3, La femme de ménage voit tout, où son nouveau mariage va être au centre de
