Me Too

À l'aube d'un jour nouveau, une jeune fille découvre une foule qui la regarde droit dans les yeux. Chaque visage évoque un passé. La jeune fille se fait le porte-voix de ces histoires innombrables. Chacune est différente, mais toutes se fraient ensemble un chemin, de la douleur sans mots au début d'une libération par la parole.

Purée vraiment de la merde en boite. Bon, déjà un court-métrage, c’est toujours de la merde (et je n’y suis pas habituée, j’avoue que je ne connais probablement pas les codes). Mais là on a du film gaucho, nul, emprisonneur, qui joue sur les émotions et qui ne proposent rien artistiquement : on y voit des gens (les personnes qui ont envoyé des messages à la suite de la prise de parole de Judith Godrèche) dans une rue à Paris interagir les uns avec les autres avec un personnage principal, une fille qui danse et qui est le centre de l’attention. Au début, les gens se cachent la bouche avec les mains signifiant qu’il ne pouvait pas parler et puis après se chuchottent des choses. Surtout, un gros plan séquence de fin, bien long, sur le visage des gens qui avancent vers nous. Mais bordel, on s’en fou ! Si tu veux surfer sur du politiquement correct et faire des vidéos youtube, il faut continuer comme cela. Bref, vraiment nul. On peut tout à fait servir la cause des femmes et des enfants en mettant plus de poésie et d’art et même, de réflexion dans un projet

Touchant, sensible, solidarité, ensemble 🙏🏼❤️🌟