Summary
Traduction nouvelle
Puissant, juste. Impressionnant pour l’époque. Question sur les conditions matérielles essentielles à l’écrivain (écrivaine) : à l’encontre des tabous de l’époque concernant la figure de l’écrivain (sinon opposé tt à fait au matériel). -> besoin d’avoir confort matériel (gagner argent), ce qui n’était pas le cas pour les femmes avant 1893 (R-U). -> besoin d’un lieu à soi (femmes : pas bureau, slmt pièces à vivre, où interrompues continuellement). Or grandes œuvres naissent (dans la réalité) des esprits qui ont eu accès à éducation… Des esprits qui ont pu se confronter au monde (x femmes)… Passe en revue œuvres féminines : dit que défaut réside en ce que leur esprit n’est pas tout à fait libre, et donc pas « incandescent ». Barrière : parlent donc trop d’elles-mêmes (car frustration etc). Empêche grande œuvre. Œuvres masculines parfois pbq aussi. Idéal se trouve dans l’alliance du féminin et du masculin. Dit qu’auteur doit être soit masculin-féminin ou féminin-masculin. Discours d’encouragement à la fin (très beau) : soutient femmes (et tout individu) à écrire. Idée qu’artiste doit chercher la VÉRITÉ. Que femmes doivent s’y atteler, n’ont plus excuse du manque de droits etc. ➕Puissant, intéressant, beaucoup d’exemples précis, message clair et qui fait sens. Réflexion dont le monde a encore besoin aujourd’hui. Très belle définition de l’artiste (qui doit chercher vérité). Féminisme sans extrémisme -> pas guerre des sexes selon elle, les deux doivent se compléter et c’est slmt de cette façon que la vérité pourra être atteinte. BEAU.
«un lieu a soi» comme matérialité nécessaire au pouvoir créatif des écrivains, poètes et auteurs de fictions. un lieu a soi que les écrivaines, poètes et autrices n’ont pas eu le luxe d’acquérir, au fil des siècles, depuis toujours. les femmes dans la fiction, thématique du livre, sont rapprochées de leurs non capacités a écrire, a produire pour Woolf , de par leurs pauvreté matérielles, symboliques, morale. la haine de la femme par d’autres femmes, la haine de la femme par l’homme, son infériorité qui semble avoir enfermée le fil de la pensée de la Femme. un espoir ressort de son livre, en s’appuyant sur la fiction de son livre, la soeur de Shakespeare, qui finalement représente tous ces femmes qui ont été bridées, mais aussi toutes celles en demande de liberté.