Nana

In-cro-yable. Nana est incontestablement un manga intemporel, qui bercent des générations d’adolescents jusque dans leurs vies d’adultes. Les personnages sont d’une profondeur immense, qu’ils soient féminins ou masculins, jeunes ou moins jeunes. À travers ces derniers, Ai Yazawa aborde des thèmes psychologiques importants tels que la dépendance affective, la peur de l’abandon, le syndrome du sauveur ou encore la relation que l’on entretient avec soi-même et avec les autres. Dans un Tokyo bourré de style punk rock mélangé aux influences pop kitsch de Nana Komatsu, créant une symbiose entre les deux personnalités des personnages. Je trouve le manga plus complet que l’anime et je le recommande fortement ! J’ai même le petit verre à fraise provenant de l’anime 🍓

10 / 10 Nana est un manga qui touche au plus profond de nous-mêmes. On ne peut pas le regarder sans se retrouver, un moment ou un autre, en l’un des personnages. Il y a toujours une situation qu’on a déjà vécue, une émotion qu’on a ressentie. J’ai eu du mal à ne pas pleurer à chaque épisode. Tout y est si vrai. Nana parle des relations avec une sincérité rare, de leur beauté mais aussi de leur complexité. Il montre à quel point il peut être difficile, de tomber sur un amour sincère, durable, honnête. Et ce que j’ai beaucoup apprécié, c’est qu’il y a aussi le point de vue des hommes. Rien n’est noir ou blanc. Au-delà de l’émotion, il y a cette ambiance unique faite de référence à la musique, à la mode, de petits détails qui rendent tout vivant, stylé, sensible. C’est une œuvre complète, à la fois crue et poétique. Une expérience qu’on ne vit pas deux fois pareil. Il est dur à regarder, mais il en vaut tellement le coup!! ❤️🍰

Indescrptible ce que cette série a pu me faire ressentir De la joie de la tristesse et une profonde nostalgie On s’arrache si fort aux personnages Ils nous font vivre des émotions aussi fortes que la réalité Je me sens liées à eux désormais

Trop dramatique, il en faut bien dans les lectures d’une adolescente