28 Weeks Later

12/20 sur Netflix Déjà Vu

Une introduction qui nous jette dans le bain, bien flippant et vers la fin, une scène qui m'a fait penser à "projet Blair witch" et "[REC]" avec la vision infrarouge dans le noir, en found foutage Des scènes remplies de sang où on ne comprend pas grand chose, avec des flashs et tout, c'est vraiment pas le genre de chose qui m'attire Bon cette suite n'est pas foncièrement mauvaise, mais bon, après la claque du premier film, c'est sûr que je suis déçu, ça se rapproche beaucoup plus d'un bête film d'action

La suite est réussie. Le meilleur de la trilogie pour moi. On retrouve tous les attendus du film de zombie sans que ce soit suranné. Les mômes sont bons, l'histoire du père qui incarne le mal est cool, l'idée du porteur sain est bien trouvée...

Moins bon que le premier

Après avoir vu 28 jours plus tard, je me suis replongé dans 28 semaines plus tard, un film que j’avais déjà eu l’occasion de voir plusieurs fois pendant mon adolescence. Sans surprise, il reste toujours aussi efficace, avec comme thématique centrale les rapports humains en pleine épidémie, dans la continuité du premier opus. Ce que j’apprécie particulièrement ici, c’est l’introduction, très réussie, avec un parti pris que je trouve excellent pour poser immédiatement les bases de l’histoire. Le synopsis en lui-même reste assez classique, mais le film parvient à conserver un bon dynamisme, notamment grâce à certaines scènes filmées façon found footage, ce qui renforce l’immersion. Les plot twists ne sont pas très surprenants, mais le film a le mérite de ne pas traîner en longueur, ce qui permet de rester accroché du début à la fin. En résumé, c’est un long-métrage assez basique, d’où ma note un peu sévère, mais il reste malgré tout intéressant, surtout pour les amateurs d’histoires dystopiques.

L’histoire est très interessante et originale, mais le film va trop vite à partir du moment où le père devient zombie et tout devient fade et classique. Mais gros coup de cœur sur le début du film et sur la musique iconique. On retrouve l’esprit du 1 !